Toutes ces étapes de nos ancêtres nous conduisent… (3e partie)

Toutes ces étapes de nos ancêtres nous conduisent… (3e partie)

jeudi 1er décembre 2011, par Jean-Pierre Brochard

Le père André [1] avait un frère Jean et les parents, selon la tradition, étaient venus au domaine de Foulun avec une charrette contenant leur pauvre avoir et peut-être, disait cousine Marie, leurs deux jeunes enfants…

« Cette famille venait, m’a-t-on dit, d’assez loin, du côté de la forêt de Tronçais. Pourquoi avaient-ils émigré ? Personne ne s’en souvient. Ils étaient arrivés au domaine de Foulun vers, je pense, 1830 [2].

Ils avaient été recommandés, c’est certain, car autrefois les maîtres avaient le choix et ne donnaient leurs terres qu’aux paysans réputés pour leur travail et leur bonne conduite.

Deux chars à bœufs amenaient toute leur fortune : dans l’un, deux lits et leurs couettes, un coffre contenant leurs hardes, une table, des chaises, quelques ustensiles de cuisine et dans l’autre, la charrue, la herse, les fourches, les pelles, les pioches, la cage à poules et celle à lapins et au milieu de tout cela, la femme et les deux jeunes enfants.

Le temps s’écoula, les fils Jean et André grandirent. À leur tour, ils fondèrent une famille, tout en continuant de travailler en communauté, André assurant la direction de la ferme. Ils n’étaient pas riches, dix enfants à nourrir ! La vie était rude. C’était celle de tous les paysans d’alors, mais l’entente était bonne et l’existence s’écoulait sereine. Et voilà que le malheur est venu. »

Extrait des notes de cousine Marie [3]

Les déplacements s’effectuaient à pied, les sabots claquant sur le sol ou pieds nus…

Mais revenons à nos anciens, les deux frères André et Jean Brochard ont épousé les deux sœurs Jeanne et Marguerite Durin. Ils ont quitté les Chalais après la naissance de Jacques (2e fils d’André) et avant la naissance de Marguerite (1re fille de Jean) pour s’installer au domaine des Bizais.
Les déplacements s’effectuaient à pied, les sabots claquant sur le sol ou pieds nus, les sabots réunis par un lien porté à l’épaule. Ces sabots étaient généralement pleins ; on y clouait des houzeaux de grosse toile remontant presque jusqu’aux genoux, maintenus par une jarretière.
Le cheval était utilisé pour les trajets un peu longs, sellé ou non… Comme les chevaux étaient ceux de la ferme, leur allure demeurait celle du pas [4].
En ce début du 19e siècle, André, Jean et leur famille se déplaçaient plus sûrement avec un char à bœufs disait cousine Marie. Le cheval, précise Antoine Paillet dans Archéologie de l’agriculture en Bourbonnais, n’aurait été introduit qu’au début du 20e siècle.

Aux Bizets, il n’y a pas de traces d’ancienne maison, celle où habite Madame Brun ne date que de 1888. Il est probable que cette habitation fut construite sur un habitat plus ancien, celui où naquit notre aïeul André (c’est le père André dont nous parle cousine Marie dans ses notes.) le 15 Août 1827.

 

Les Bizets (Bizais au XIXe siècle)

 Si l’on place les deux photos des Bizets côte à côte, nous avons une vue d’ensemble du domaine.

Chronologie de la vie d’André BROCHARD

 

L’affaire de la Brande des Mottes 15 juin 1849…

Lorsque le voyageur passe du Berry en Bourbonnais, qu’il vient de Culan pour se diriger vers Montluçon, il peut, au carrefour de St-Désiré, infléchir sa route vers le sud, vers Viplaix, puis vers Chambérat ; il y gagne un chemin autrement agréable que la fonctionnelle route nationale.

En continuant vers Huriel, le voyageur franchit le ravin de la Meuzelle, puis il voit, sur sa gauche, un panneau indicateur : « Brande des Mottes ». S’il s’engage sur ce chemin de terre, il arrive sur un plateau où les cultures n’ont pas réussi à extirper les broussailles, les ronces, les rochers qui demeurent les vestiges de l’antique Brande.
De là, la vue plonge vers l’étroite vallée où serpente une petite rivière le plus souvent sèche en été ; de l’autre côté, les quelques maisons des Pardeux maintiennent le souvenir de l’ancien hameau de Nocq, serré autour de la petite église disparue depuis près de cinquante ans…

Ce site d’apparence banale fut, le 15 juin 1849, le théâtre de cet épisode de caractère insurrectionnel dont la trace survit sous le nom de l’« affaire de la Brande des Mottes ». Le souvenir en demeure confusément : anecdote du passé pour les uns, tradition locale pour les autres [5].

L’affaire de la « Brande des Mottes » est liée aux troubles civils qui ont suivi l’élection à la présidence de la deuxième République du prince Louis-Napoléon Bonaparte. Une intervention militaire, en vue de rétablir les pouvoirs du pape à Rome, mécontente fort les Républicains et conduit à une insurrection parisienne, brutalement réprimée. Mais auparavant, des soulèvements locaux se manifestent dans certaines provinces, et notamment dans la région Montluçonnaise. Dans le canton d’Huriel, une forte personnalité, Fargin-Fayolle, rassemble environ 1500 paysans de la région à la Brande des Mottes, en vue de marcher sur Montluçon.

L’opération mal coordonnée, et surtout en raison de l’échec parisien, tourne court. 43 personnes sont arrêtées et traduites devant la cour d’Assise du Puy-de-Dôme, où elles seront d’ailleurs acquittées… La population locale a conservé le souvenir de cette malheureuse tentative [6]

Le père André [7] avait un frère Jean et les parents, selon la tradition, étaient venus au domaine de Foulun [8] avec une charrette contenant leur pauvre avoir et peut-être, disait cousine Marie, leurs deux jeunes enfants. Va pour la charrette, mais vers 1839… les « jeunes enfants » avaient déjà 12 et 15 ans ; à cet âge-là, ils suivaient plus sûrement la charrette et très certainement pieds nus pour ne pas user leurs sabots.

En arrivant à Foulun (commune de Nocq).

 

Nocq, nom à consonance peu commune dans la région…

À cette époque, l’ancienne paroisse de Chambérat avait son siège à Nocq, nom à consonance peu commune dans la région. En 1790, l’assemblée Constituante décide la division de la France en départements, districts, cantons et communes ; la paroisse de Nocq devient commune de Nocq. Cette dernière était composée de hameaux dispersés sur une vaste étendue, elle ne comptait pas moins de 952 habitants au dernier recensement de 1881 [9].

En août 1856, le Conseil Municipal de Nocq, déplorant l’absence de prêtre depuis plus d’un an dans leur paroisse à cause du mauvais état de l’église de Nocq (l’Évêque en avait interdit l’usage) et de la petitesse de la chapelle de Pardeux, où officiaient les prêtres depuis quelques années, envisagea d’agrandir et d’aménager cette chapelle, de transférer le siège de la paroisse à Pardeux, et même d’y construire une église utilisant les matériaux de la chapelle et de l’église de Nocq après démolition [10]…

Église de Nocq avant 1920.

L’église de Chambérat n’étant pas encore construite [11], le mariage d’André et Marguerite Vincent, en 1854, fut probablement célébré dans la chapelle de Pardeux.

Acte N° 6 : L’an mil huit cent cinquante quatre, et le vingt sept juin à neuf heures du matin, par devant nous Jacques Chamoreau, Maire et officier de l’état civil de la commune de Nocq, canton d’Huriel, arrondissement de Montluçon, département de l’Allier, sont comparu en la maison commune, André BROCHARD, laboureur, demeurant à Foulun, commune de Nocq, fils majeur de défunt André BROCHARD, décédé en cette commune le deux juillet mil huit cent cinquante, et, Jeanne DURIN, décédée en la commune de la Chapelaude le sept avril mil huit cent trente un, ainsi qu’il est constaté par l’acte de décès qui nous a été représenté, et Marguerite VINCENT âgée de vingt deux ans, née en la commune de Viplaix le 25 avril mil huit cent trente, ainsi qu’il résulte de l’acte de naissance qui nous a été représenté, demeurant au village de Paslière, commune de Nocq, fille majeure de Paul VINCENT et de Catherine ROUYAT , de même profession, et au même lieu, tous les deux ci présents et consentant, les ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches onze et dix huit courant à dix heures du matin, sur notre interpellation, les futurs époux nous ont déclaré que leur contrat de mariage avait été reçu par Monsieur Meillet notaire à Huriel le huit juin courant, ainsi que cela résulte de l’acte délivré par cet officié public et qui nous ont été remis sur notre réclamation, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifié, faisant droit à leur réquisition après avoir donné lecture de toutes les pièces à ce jour mentionnées et du chapitre dix du livre de Napoléon intitulé (du mariage) avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement nous avons prononcés au nom de la loi que André BROCHARD et Marguerite VINCENT sont unis en mariage de quoi nous avons dressé acte publiquement en présence de Jacques BROCHARD âgé de 34 ans, de Jean BROCHARD âgé de trente ans, tous les deux laboureurs et domiciliés au même lieu de Foulun, frères du futur, de Blaize VINCENT âgé de vingt sept ans, et de Marien VINCENT âgé de vingt cinq ans, l’un et l’autre cultivateurs et domiciliés au village de Paslière, frères de la future, lesquels après qu’il leur en a été aussi donné lecture, ont ainsi que leur partie contractante, déclaré ne savoir signer excepté le frère de la future qui a signé avec nous.

De cette union entre André et Marguerite naquit mon arrière-grand-père Maur, second garçon d’une famille de 7 enfants :

l’aînée, Catherine épousa Jules ANDRE,
son frère Paul une Emery de Paslière,
Maur se maria en 1883 avec Catherine JACQUINET,
Michel (beau-père de cousine Marie) épousa Valentine BLINET,
Jules décéda à 1 an,
Félicie se maria à Gilbert BOUDEAU,
la cadette Marguerite n’a survécu pas plus que 15 jours.

Un an après le décès de sa fille cadette, Marguerite VINCENT décédait à son tour, d’une couche de trois enfants, à l’âge de 42 ans.

À suivre…

Voir en ligne : Arbre Généalogique Jean Pierre BROCHARD

Descendants de Gilbert BROCHARD

Jusqu’à la 8e génération.

Gilbert BROCHARD, né avant 1660, décédé le 17 octobre 1727, Louroux Hodement, 03, Allier.
Marié le 27 février 1680, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, avec Gilberte POURADE, baptisée vers 1660, décédée le 12 novembre 1698, Louroux Hodement (03) (à l’âge de peut-être 38 ans), dont

  • Marie, née, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, décédée, Louroux Bourbonnais (03), Allier, Auvergne.
    Mariée le 5 août 1699, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, avec Jean PERIAT, décédé en 1734, Louroux Bourbonnais (03), Allier, Auvergne, dont
    • François, né le 23 mars 1716, St Caprais (03), Allier, Auvergne, décédé.
      Marié le 26 janvier 1740, Louroux Bourbonnais, 03, avec Anne BOURDERY, décédée en 1773, Le Brethon (03), Allier, Auvergne, dont
      • Marie.
        Mariée le 14 février 1775, Meaulne, 03, avec Jean MALOCHET.
      • Gilbert, né en 1748, Louroux Bourbonnais (03), Allier, Auvergne, décédé en 1784, Le Vilhain, 03 (à l’âge de 36 ans).
        Marié le 5 février 1771, Cérilly, 03, avec Marguerite MICAUT, née en 1754, Cerilly; 03350; Auvergne; France, décédée, dont

Marié le 14 janvier 1780, Louroux Bourbonnais (03),, avec Jeanne GIRAUD.

  • Denis, né vers 1690, décédé.
    Marié le 21 octobre 1710, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, avec Jeanne HERAUD, dont
  • Marien, né avant 1698, décédé.
    Marié le 25 février 1727, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, avec Madeleine DATRIER.
    Marié le 8 février 1735, Louroux Hodement (03), Allier, Auvergne, avec Marguerite ROBIN, dont
    • Dominique, né le 26 janvier 1739, Louroux Hodement,03190,Auvergne,France, décédé.
    • Claire, née le 24 avril 1741, Louroux Hodement,03190,Auvergne,France, décédée.
      Mariée le 21 juin 1768, Louroux Hodement; 03; Allier; Auvergne, avec Antoine MATHONIERE.
    • Pierre, né le 21 juillet 1743, Louroux Hodement,03190,Auvergne,France, décédé le 9 janvier 1765, Louroux Hodement (03) Allier (à l’âge de 21 ans).
    • Antoine, né le 29 avril 1745, Louroux Hodement,03190,Auvergne,France, décédé, Vaux (03) Allier.
      Marié le 10 novembre 1778, Givarlais (03) Allier, avec Marie GORBINET, née le 4 mai 1752, Givarlais (03) Allier, décédée, Vaux (03) Allier, dont
      • Claire.
      • Catherine, décédée le 20 avril 1785.
      • Madeleine.
      • Marie.
      • Gilbert.
      • André, né le 1er septembre 1789, Domérat ,03410,Auvergne,France, décédé le 30 juin 1850, Chambérat (03) Allier (à l’âge de 60 ans), laboureur aux Chalais (domérat, Allier).
        Marié le 23 juin 1813, Domérat (03) Allier, avec Jeanne DURIN, née le 9 mars 1802, Givrette; 03; Auvergne; France, dont
        • Jean, né le 28 novembre 1817, décédé.
        • Jacques, né le 6 janvier 1820, décédé le 5 juillet 1855 (à l’âge de 35 ans).
        • Jean, né le 9 avril 1824, Les Bizais; Domérat (03) Allier, décédé.
          Marié avec Marie RABERET.
        • André, né le 15 août 1827, La Chapelaude,03,Allier,,,, décédé le 3 janvier 1898, Chambérat,03,Allier,,, (à l’âge de 70 ans), Cultivateur.
          Marié le 27 mai 1854, Chambérat,03,Allier,,,, avec Margueritte VINCENT, née en 1833, décédée le 21 novembre 1874, Chambérat,03,Allier,,, (à l’âge de 41 ans), dont
          • Catherine, née le 27 mars 1855, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédée.
            Mariée avec Jules ANDRE, né en 1850, décédé, dont
          • Paul, né en 1858, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédé.
            Marié avec ? EMERY, dont
          • Maur, né le 5 octobre 1861, Chambérat,03,Allier,,,, décédé le 8 novembre 1935, Vallon en Sully,03190,Allier,,, (à l’âge de 74 ans), Cultivateur.
            Marié le 16 juin 1883, Huriel,03,Allier,,,, avec Catherine JACQUINET, née le 27 novembre 1864, Huriel,03,Allier,,,, décédée le 22 juillet 1938, Vallon en Sully,03190,Allier,,, (à l’âge de 73 ans), dont
            • Jean, né le 12 mars 1884, Chambérat,03,Allier,,,, décédé le 6 novembre 1952, Vallon en Sully,03190,Allier,,, (à l’âge de 68 ans), Agriculteur.
              Marié le 12 août 1908, Vallon en Sully,03190,Allier,,,, avec Virginie, Marie PHILIPON, née le 13 juillet 1881, Vallon en Sully,03190,Allier,,,, décédée en février 1953, Vallon en Sully,03190,Allier,,, (à l’âge de 71 ans), dont
              • André Jean, né le 22 août 1909, Vallon en Sully,03190,Allier,,,, décédé le 2 juin 1998, Montluçon,03,Allier,,, (à l’âge de 88 ans), Expert, Exploitant agricole.
                Marié avec x x, dont
                • x x.
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          • Michel, né le 25 janvier 1864, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédé en avril 1942 (à l’âge de 78 ans).
            Marié avec Valentine BLINET, née le 31 janvier 1867, décédée, dont
            • Emilienne, née le 8 septembre 1892.
              Mariée en 1914 avec Emile BOURGEOIS, né le 8 septembre 1892, dont
              • x x.
              • x x.
            • Raymond, né le 30 août 1906.
              Marié avec Marie BARACHY, née le 6 novembre 1910, dont
              • x x.
              • x x.
          • Jules, né le 6 novembre 1866, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédé le 6 novembre 1867, Chamberat (03370), Allier, Auvergne (à l’âge de un an).
          • Felicie, née le 26 février 1870, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédée.
            Mariée avec Gilbert BOUDEAU, né le 26 février 1870, décédé, dont
          • Marguerite, née le 10 avril 1873, Chamberat (03370), Allier, Auvergne, décédée le 24 avril 1873, Chamberat (03370), Allier, Auvergne (à l’âge de 14 jours).

Marié avec Marie DEPEIGE, née en 1812, décédée le 18 décembre 1850 (à l’âge de 38 ans).

      • Marie.
      • Jean, né le 24 juillet 1795, Vaux (03) Allier; Auvergne, décédé.
        Marié le 15 juin 1819 avec Marguerite DURIN, née le 28 novembre 1798, Givrette (03) Allier, décédée, dont
        • Marguerite, née le 1er mars 1821, décédée.
        • André, né le 14 décembre 1822, décédé.
        • Jean, né le 13 mars 1825, décédé.
        • Joseph, né le 15 septembre 1829, décédé.
        • André, né le 30 septembre 1831, décédé.
        • Marie, née le 15 juillet 1833, décédée.
        • Anne, née le 15 mars 1836, décédée.
        • Marie, née le 27 septembre 1838, décédée.
    • Marie.
      Mariée le 10 février 1756, Louroux Hodement (03), avec Jean Baptiste HUGUET, dont
      • Antoine, né le 9 septembre 1774, Maillet (03), décédé.
      • Jean, né le 8 avril 1821, Le Brethon (03), décédé.

Total: 89 personnes (conjoints non compris).

 

Notes

[1] C’est le père de mon arrière-grand-père Maur BROCHARD.

[2] Il semble qu’André et sa seconde femme, Marie Depeige – sa première femme, Jeanne Durin étant décédé en 1831 aux Bizets – sont venus à Foulun un peu plus tard, vers 1839, car un an avant, il était aux Bizets pour la naissance de Marie, la dernière fille de son frère Jean (oncle d’André et Jean).

[3] Feu cousine Marie, née le 6 novembre 1910, est la bru de mon arrière-grand-oncle paternel Michel BROCHARD… Elle m’écrivait : « J’ai noté précieusement tout ce que j’ai entendu raconter par mon beau-père, Michel, sur son enfance, sur son père, ce père André qui était certainement un homme exceptionnel. Ce n’est pas un livre que j’ai fait, ce récit n’a pas été publié… ».

[4] La Brande des Mottes par Pierre Pizon

[5] Introduction à LA BRANDE DES MOTTES 15 juin 1845 par Pierre Pizon.

[6] Mémoire des communes Bourbonnaises, La châtaignerais et le vignoble, Chambérat par Maurice Piboule

[7] C’est le père André dont nous parle cousine Marie dans la préface, c’est le père de mon arrière-grand-père Maur BROCHARD

[8] Commune de Nocq.

[9] Dictionnaire des communes de l’Allier par Adolphe Joanne (1885).

[10] Extrait du bulletin «Le Grimoire des pays d’Huriel (1991).

[11] Le Chambérat actuel s’est construit autour d’une nouvelle église édifiée en 1867. En 1888, le 9 juin, par décret présidentiel, la commune prenait le nom de Nocq-chambérat. En 1894, le 27 janvier, elle devenait Chambérat.

 

By René Arbour

Management certificate of Credit Card (New York - 1983-84) Bac Administration , Security for the people (Minesota 1984)