Denis ROUILLARD DIT PRONOVOST.

Ovila Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à St-Tite (Champlain)  Qué le vendredi 24 mars 1882 [2], mort à Montréal (Hôpital St-Luc)  Qué le jeudi 8 novembre 1951, à l’âge de soixante-neuf ans. IL DECEDA DU CANCER GENERALISE FORME A LA LEVRE PAR UNE PLAIE QUI NE GUERISSAIT PAS DEPUIS 1947, PEUT-ETRE DU A LA PIPE. SON PARRAIN CHARLES BEDARD LUI AVAIT DONNE SON NOM DE CHARLES; AVILDA SUR CERTAINS DOCUMENTS, TOUT LE MONDE L’APPELAIT OVILA. TRES SÉDUISANT DURANT SA JEUNESSE, DE STATURE IMPOSANT, IL ETAIT PLUTOT SOLITAIRE ET NE PARLAIT PAS BEAUCOUP MAIS JOUAIT DE LA GUITARE, DU VIOLON ET CHANTAIT

RosesFlottanteRouge2009

HISTOIRE & GÉNÉALOGIE DE LA FAMILLE

ROUILLARD DIT PRONOVOST DENIS

et de ses alliances (Filles de Caleb)

 Du début des registres à nos jours, le 13 mai 2010

Le premier ancêtre connu de la famille ROUILLARD DIT PRONOVOST est originaire de Champlain, Québec, Canada où naquit, en l’an 1811, Denis ROUILLARD DIT PRONOVOST. Sa descendance est cognatique et se présente par ordre de primogéniture. Elle s’étend sur trois générations dans laquelle on dénombre 82 personnages répartis en 37 hommes et 46 femmes. Aucun enfant n’est né avant le mariage et pas un n’a été conçu avant les noces de ses parents. Les jours les plus propices aux naissances étaient le lundi, le mardi et le mercredi. Les mariages quant à eux étaient célébrés les lundi, mardi et mercredi, et les décès les plus nombreux survenaient le mardi, le vendredi et le jeudi. Les mois les plus propices aux naissances étaient avril, mars et juillet, et les décès les plus nombreux survenaient en décembre, en février et en mai. Les unions ne présentent aucune endogamie professionnelle. On ne compte aucune union entre cousins. Les familles alliées, les professions et les lieux des ROUILLARD DIT PRONOVOST sont reportés dans l’index.

 

0 – Denis Rouillard Dit Pronovost, né à Champlain  Qué le lundi 9 septembre 1811. À trente et un ans, il s’est marié le mardi 25 janvier 1842 à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) avec Marguerite Cossette Dit Potevin, d’où : [1]

 

I – Joseph-Denis Rouillard Dit Pronovost, né à Batiscan (Champlain)  Qué le mardi 27 août 1844, décédé à St-Tite (Champlain)  Qué le dimanche 9 mai 1915, à l’âge de soixante et onze ans. À vingt et un ans, il s’est marié le lundi 7 août 1865 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Virginie Zaste. Il ne semble pas avoir eu de postérité.

 

II – Anésie Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin.

 

III – Zélire-Marie Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, née à Batiscan (St-François Xavier) Champlain  Qué le jeudi 2 avril 1846, décédée à St-Tite (Champlain)  Qué le jeudi 30 janvier 1862, à l’âge de seize ans.

 

IV – Claire Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin.

 

V – Denise Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin.

 

VI – Dosithé Rouillard Dit Pronovost, cultivateur, fils de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, né à St-Tite (Champlain)  Qué le lundi 15 juillet 1850, décédé le jeudi 19 juin 1913, à l’âge de soixante-trois ans. DOSITHEE ET SA FEMME FELICITE ONT TOUJOURS ETE CONSIDERES PAR LES GENS QUI LES ONT CONNUS COMME DES PERSONNES EXTRAORDINAIREMENT BONNES. À vingt-deux ans, il s’est marié le mardi 30 avril 1872 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Félicité Bédard, née le vendredi 29 mars 1850 à Ste-Genevieve de Batiscan  Qué. Il eut de sa conjointe Henry, Gédéon, Ovide, Edmond, Lazare, Ovila, Rosee, Émile, Éva, Oscar, Télesphore et Marie-Anne-Hénédine qui suivent.

 

1°  – Henry Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à Rang le Bourdais de St-Tite le mercredi 19 février 1873, décédé le vendredi 23 octobre 1874, dans sa première année.

 

2°  – Gédéon Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né le mercredi 18 février 1874. Ne vivait plus en 1876.

 

3°  – Ovide Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à St-Tite (Champlain)  Qué le samedi 7 octobre 1876.

 

4°  – Edmond Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né le jeudi 6 juin 1878, mort le vendredi 20 septembre 1940, à l’âge de soixante-deux ans. IL AIMAIT BEAUCOUP LES CHEVAUX ET COMME SON FRERE OVIDE, SON UNION FUT DE COUR TE DUREE ET COMME IL Y EUT 2 GARCONS SEPARES DANS LA MEME FAMILLE ET DANS LE MEME VILLAGE, CELA FAISAIT BEAUCOUP JASER, marié avec Philomene Beaulieu. De là naquit Marguerite qui suit.

 

A – Marguerite Rouillard Dit Pronovost, fille d’Edmond Rouillard Dit Pronovost (1878-1940), et de Philomene Beaulieu, née vers 1905.

 

5°  – Lazare Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né le jeudi 1er avril 1880.

 

6°  – Ovila Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à St-Tite (Champlain)  Qué le vendredi 24 mars 1882 [2], mort à Montréal (Hôpital St-Luc)  Qué le jeudi 8 novembre 1951, à l’âge de soixante-neuf ans. IL DECEDA DU CANCER GENERALISE FORME A LA LEVRE PAR UNE PLAIE QUI NE GUERISSAIT PAS DEPUIS 1947, PEUT-ETRE DU A LA PIPE. SON PARRAIN CHARLES BEDARD LUI AVAIT DONNE SON NOM DE CHARLES; AVILDA SUR CERTAINS DOCUMENTS, TOUT LE MONDE L’APPELAIT OVILA. TRES SÉDUISANT DURANT SA JEUNESSE, DE STATURE IMPOSANT, IL ETAIT PLUTOT SOLITAIRE ET NE PARLAIT PAS BEAUCOUP MAIS JOUAIT DE LA GUITARE, DU VIOLON ET CHANTAIT. À dix-neuf ans, il s’est marié le lundi 9 septembre 1901 [3] à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) avec Emilie Bordeleau Dit Laforest, née le dimanche 21 décembre 1879 à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) [4]. Il en a eu Alice, Rose-Alma, Clément, Émilien, Jeanne-Emma, Marie-Ange, Paul-Ovide, Blanche et Rolande qui suivent.

 

A – Alice Rouillard Dit Pronovost, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), décédée le lundi 24 décembre 1979, veille de Noël [5], mariée le mercredi 15 septembre 1937 à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) avec Henri Boisvert, né à La Sarre (Abitibi)  Qué. Elle en a eu Living, Living, Living et Living qui suivent.

 

a – Living Boisvert, fille d’Henri Boisvert, et d’Alice Rouillard Dit Pronovost (†1979), mariée avec Living Mcarthur. Elle en a eu Living et Living qui suivent.

 

(1)  – Living Mcarthur, fille de Living Mcarthur, et de Living Boisvert.

 

(2)  – Living Mcarthur, fils de Living Mcarthur, et de Living Boisvert.

 

b – Living Boisvert, fille d’Henri Boisvert, et d’Alice Rouillard Dit Pronovost (†1979).

 

c – Living Boisvert, fille d’Henri Boisvert, et d’Alice Rouillard Dit Pronovost (†1979).

 

d – Living Boisvert, fille d’Henri Boisvert, et d’Alice Rouillard Dit Pronovost (†1979).

 

B – Rose-Alma Rouillard Dit Pronovost, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), née en 1904, décédée à Montréal  Qué le mardi 3 décembre 1974, inhumée à Montréal (Cim Côte des Neige)  Qué le samedi 7 décembre 1974, à l’âge de soixante-dix ans. AINEE DE LA FAMILLE, LES COMPLICATIONS DUES A SA NAISSANCE LUI LAISSENT QUELQUES SEQUELLES ET ELLE REST UN PEU «LENTE» A L’APPRENTISSAGE. ELLE EPOUSERA UN VEUF AVEC 2 ENFANTS QU’ELLE ELEVARA COMME LES SIENS. ELLE DECEDERA DES COM-

PLICATIONS DUES A UNE GRIPPE. ELLE ETAIT ATTEINTE DE LA MALADIE DE PARKINSON DEPUIS QUELQUES ANNEES. LA FAMILLE VECUT AU 1447 WILLIAM-DAVID, A MONTREAL SES FUNERAILLES EURENT LIEU A ST-LIN. À trente-sept ans, elle s’est mariée le jeudi 27 mars 1941 [6] à Montréal (Cathédrale St-Jacques)  Qué avec Albert-Omer Mallette, charpentier-menuuisier, né en 1893 à St-Nom-de-Jesus de Montreal ((Québec)), décédé à Montréal  Qué. Descendance non connue.

 

C – Clément Rouillard Dit Pronovost, fils d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), décédé à Port-Cartier. IL ACCEPTA DIFFICILEMENT LE DEPART DE SON PERE AUQUEL IL RESSEMBLE ENORMEMENT; SOLITAIRE COMME LUI, IL NE FREQUENTE PAS BEAUCOUP SA FAMILLE ET SA MERE EMILIE RESTE SOUVENT DES MOIS SANS NOUVELLES. IL TRAVAILLAIT DANS LA BOIS COMME MESUREUR ET LORSQU’IL REVENAIT A ST-TITE, IL LOGEAIT A L’HOTEL GRAND NORD; IL AIMAIT GATER ROLANDE A QUI IL DONNAIT DES BONBONS ET DES SOUS. ON RETROUVE TRACEDE SON PASSAGE A L’HOPITAL ST-JOSEPH DE LA TUQUE POUR UNE INFECTION A LA MAIN GAUCHE DU 2 AU 9 JUILLET 1940, IL TRAVAILLAIT ALORS POUR LA B.C DE SANMAUR.

 

D – Émilien Rouillard Dit Pronovost, fils d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), mort à Abitibi  Qué le lundi 11 janvier 1993. IL EST LE FILS AINE, TRES SENSIBLE ET PAS TELLEMENT DOUE POUR L’ECOLE. IL SE REND EN ABITIBI VERS 1920 ET PEU APRES Y TIERNT UN MAGASIN DE VETEMENTS; APRES UN COURS DE PILOTAGE, IL SE LANCE EN 1955 DANS LA VENTE D’AVIONS AUX PROSPECTEURS (LA SARRE AIR SERVICE), IL DEVINT MILLIONNAIRE, LUI QUI COMMENCA A TRAVAILLER A 25 CENTS PAR JOUR DANS UNE FROMAGERIE DE ST-TITE. SON PERE ASSISTA A

SON MARIAGE, marié le mercredi 29 juin 1938 à La Sarre (Abitibi)  Qué avec Bernadette Mercier, elle eut 6 enfants. On ne connaît aucun enfant de ce couple.

 

E – Jeanne-Emma Rouillard Dit Pronovost, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879). LES ANNEES QU’ELLE PASSE COMME PENSIONNAIRE AU COUVENT LUI RAPPELLE DE MAUVAIS SOUVENIRS CAR ON LUI RAPPELLE CONSTAMMENT QU’ON LA GARDE PAR CHARITE. ELLE AIMERAIT DEVENIR INFIRMIERE COMME SA SOEUR BLANCHE QU’ELLE REJOINT A MONTREAL OU ELLE COMMENCE SON COURS A L’HOPITAL NOTRE-DAME COMME BLANCHE; APRES 2 ANS. SA SANTE DELICATE L’EMPECHE DE CONTINUER SON COURS, MAIS ELLE SE REND QUAND MEME ASSISTER BLANCHE SON DISPENSAIRE ET Y RENCONTRE SON FUTUR MARI. ELLE ENSIGNA AUSSI AVEC SA MERE AU LAC-AUX-SABLES ET EN 1995 VIVAIT A LACHINE, mariée le samedi 11 juin 1938 à Canton Rousseau (Abitibi)  Qué avec Adrien Audet Dit Lapointe. Pas de postérité connue.

 

F – Marie-Ange Rouillard Dit Pronovost, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), venue au monde à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)), décédée à Montréal  Qué le vendredi 10 février 1984, inhumée à Montréal (Cim de L’Est St-François d’Assise)  Qué le lundi 13 février 1984. ELLE EPOUSE UN HOMME PLUS AGE QU’ELLE (LUI 53 ET ELLE 34) QUI A DEJA UNE FILLE DE 13 ANS. ILS SONT PROPRIETAIRES PENDANT QUELQUES ANNEES D’UNE MERCERIE SITUE 3275 RUE ONTARIO, SA SOEUR BLANCHE Y HABITA LORS DE SON SEJOUR A MONTREAL. LE COMMERCE ETAIT DIFFICILE A L’EPOQUE ET APRES LA FAILLITE, GEORGES-HENRI DUT S’ENROLER POUR FAIRE VIVRE SA FAMILLE. MAIRE-ANGE ETAIT RES PRES DE SA SŒUR BLANCHE ET S’OCCUPA TOUJOURS DE SES FERES ET SOEURS; ELLE ETAIT BONNE RACONTEUSE D’HISTOIRE ET DESSINAIT TRES BIEN. EN 1939, SES PARENTS VIVAIENT EN ABITIBI, mariée le jeudi 8 juin 1939 à Montréal  Qué avec Georges-Henri Boulanger, né vers 1886 à Ste-Agathe (Lotbinière)  Qué. Elle n’eut point de postérité.

 

G – Paul-Ovide Rouillard Dit Pronovost, marchand-comptable, fils d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), décédé à Montréal  Qué le mercredi 23 février 1955 [7], inhumé à Montréal (Cim de L’Est St-François d’Assise)  Qué le samedi 26 février 1955. DE 1925 A 1929, IL FIT DES ETUDES SUPERIEURES AU SEMINAIRE DE TROIS-RIVIERES, PAS TRES SPORTIF, IL EST PLUTOT SOLITAIRE ET BON PEINTRE. IL DEVINT ENSUITE MARCHAND-COMPTABLE A VILLEBOIS, EN ABITIBI; CETTE VILLE LUI DOIT D’AILLEURS SON NOM CAR C’EST LUI QUI LE PROPOSA.. IL MOURUT DU DIABETE A MONTREAL APRES AVOIR PERDU SES 2 JAMBES.

 

H – Blanche Rouillard Dit Pronovost, infirmiere, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), née à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) vers 1910, morte à St-Lambert (Lévis)  Qué le vendredi 11 février 1994, inhumée au même endroit. ELLE EST LA 5ieme ENFANT DE LA FAMILLE. ELLE ENSEIGNA D’ABORD 3 ANS AVEC SA MERE DANS UNE ECOLE DE RANG A ST-TITE AVANT D’ALLER ETUDIER A MONTREAL OU ELLE

VIT CHEZ SA SOEUR MARIE-ANGE AU 3275 ONTARIO AU-DESSUS DE LA MERCERIE. ELLE DE SIRAIT DEVENIR MEDECIN MAIS C’ETAIT IMPOSSIBLE A L’EPOQUE. ELLE ETUDIE COMME INFIRMIERE DE 1931 A 1935, HABITANT UNE CHAMBRE D’ETUDIANTE DE L’HOPITAL NOTRE

DAME ET RECEVANT UN MAIGRE SALAIRE; DIPLOMEE:22/04/1935, ELLE DEVINT INFIRMIERE PRIVEE AVANT D’ATTERIR A VILLEBOIS EN 1936 OU ELLE RENCONTRE SON MARI. À environ vingt-huit ans, elle s’est mariée le jeudi 15 décembre 1938 à St-Stanislas (Champlain) ((Québec)) avec Clovis-Emile Couture Dit Bellerive, colonisation, né vers 1910, décédé le mardi 6 décembre 1994. Leur union dura cinquante-six ans. Elle eut de son conjoint Rose-Alma, Marie-Jeanne-Emma, Living, Lyse, Marie-Ange, Joseph-Émilien-Léo, Paul-Ovide, Clément et Arlette qui suivent.

 

a – Rose-Alma Couture Dit Bellerive, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere, morte à St-Lin des Laurentides (L’Assomption) ((Québec)) le mardi 3 décembre 1974, enterrée à Montréal (Cim Côte des Neige)  Qué, mariée le lundi 27 mars 1741 à Montréal  Qué avec Albert-Omer Malette. On ne lui connaît pas de descendance.

 

b – Marie-Jeanne-Emma Couture Dit Pronovost, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere, née en 1912, morte le jeudi 16 décembre 1999, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Les années que Jeanne passe comme pensionnaire au couvent sous le statut d’orpheline la marque particulièrement. Elle souffre de se faire rappeler continuellement qu’on la garde par charité.

 

Jeanne, qui désire devenir infirmière comme Blanche, se rend à Montréal où elle rejoint sa soeur. Elle suit son cours d’infirmière au même endroit que Blanche, soit à l’hôpital Notre-Dame. Après deux ans de formation, malgré le fait qu’elle soit immunisée contre les maladies, sa santé très faible l’empêche de continuer son cours. Plus tard, elle part pour Villebois en Abitibi, où elle a la chance de seconder sa soeur Blanche à son dispensaire d’infirmière.

 

Le 11 juin 1938, elle épouse Adrien Audet, au Canton Rousseau en Abitibi.

 

Jeanne est décédée le 16 décembre 1999 à l’âge de 87 ans. Il ne reste donc plus aucun enfants vivants d’Émilie et d’Ovila..

 

c – Living Couture Dit Bellerive, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere.

 

d – Lyse Couture Dit Bellerive, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere.

 

e – Marie-Ange Couture Dit Bellerive, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere, née vers 1919, morte à Montréal  Qué le vendredi 10 février 1984, inhumée le lundi 13 février 1984. À environ vingt ans, elle s’est mariée le jeudi 8 juin 1939 à Montréal  Qué avec George-Henri Boulanger, né vers 1900. Elle eut de celui-ci Aline qui suit.

 

(1)  – Aline Boulanger, fille de George-Henri Boulanger (°~1900), et de Marie-Ange Couture Dit Bellerive (~1919-1984), mariée avec Florien Bonnier. Elle en a eu Pierre, Yves, Claude et Manon qui suivent.

 

~1~  – Pierre Bonnier, fils de Florien Bonnier, et d’Aline Boulanger.

 

~2~  – Yves Bonnier, fils de Florien Bonnier, et d’Aline Boulanger.

 

~3~  – Claude Bonnier, fils de Florien Bonnier, et d’Aline Boulanger.

 

~4~  – Manon Bonnier, fille de Florien Bonnier, et d’Aline Boulanger.

 

f – Joseph-Émilien-Léo Couture Dit Pronovost, fils de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere. Émilien est le premier garçon d’Emilie et d’Ovila et un enfant extrêmement sensible. Il n’est pas non plus vraiment doué pour l’école.

 

Émilien se rend en Abitibi au début des années 1920. Plus tard, iI y tient un magasin de vêtements pour hommes et femmes. Ayant suivi des cours d’aviations à St-Hubert, il se lance, en 1955, dans la vente de petits avions aux prospecteurs miniers et forestiers (La Sarre Air Service). Il exploite également une compagnie de téléphone (La Sarre Téléphone). Homme d’affaires prospère, il devient millionnaire.

 

Émilien épouse Bernadette Mercier le 29 juin 1938 à La Sarre en Abitibi. Émilien est décédé le 11 janvier 1993 en Abitibi, marié le mercredi 29 juin 1938 à La Sarre (Abitibi)  Qué avec Bernadette Mercier. Pas de postérité pour ce couple.

 

g – Paul-Ovide Couture Dit Bellerive, fils de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere, décédé à Montréal  Qué le mercredi 23 février 1955 [8], enterré à Montréal (St-François d’Assise)  Qué le samedi 26 février 1955. Paul-Ovide (Paulo) poursuit des études supérieures au Séminaire de Trois-Rivières, de 1925 à 1929, afin de devenir prêtre.

 

Puis, Paul-Ovide devient marchand-comptable à Villebois, en Abitibi. Cette ville lui doit d’ailleurs son nom: C’est lui qui l’a proposé.

 

Il meurt du diabète le 23 février 1955 à Montréal, après avoir perdu une jambe. Il est inhumé le 26 février 1955 et repose au cimetière St-Francois d’Assise à Montréal.

 

h – Clément Couture Dit Pronovost, fils de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere. Clément a beaucoup de difficulté à accepter le départ de son père, auquel il ressemble énormément. Solitaire comme lui, il ne fréquente pas beaucoup sa famille. Émilie reste donc parfois sans nouvelle de son fils pendant des mois. Comme pour Ovila, personne ne peut se vanter de connaître vraiment Clément Pronovost.

 

Clément travaille pendant longtemps dans le bois l’hiver comme mesureur forestier. Lorsqu’il revient à St-Tite, il pensionne à l’hôtel Grand-Nord. Il porte une affection particulière à sa jeune soeur Rolande, qu’il aime gâter en lui donnant quelques sous pour s’achète des bonbons.

 

On retrace Clément du 2 juillet au 9 juillet 1940, alors qu’il est de passage à l’hôpital Saint-Joseph de La Tuque pour faire soigner une infection à la main gauche. Il travaille à ce moment pour la B.C. de Sanmaur. Il décède en 1957 áa Port Cartier.

 

i – Arlette Cousture Dit Couture, écrivaine, fille de Clovis-Emile Couture Dit Bellerive (~1910-1994), colonisation, et de Blanche Rouillard Dit Pronovost (~1910-1994), infirmiere, née à Montréal (St-Laurent)  Qué le samedi 3 avril 1948. Elle est bachelière ès arts du Collège Ste-Marie. Elle fait un pas de plus en avant dans sa formation en obtenant un baccalauréat en animation culturelle et théâtrale à l’Université du Québec à Montréal. ± Fille de communication », elle explore plusieurs facettes de sa personnalité en pratiquant plusieurs métiers: professeur, animatrice, recherchiste, interviewer, journaliste, conseillère en communication et écrivain. Toute petite, elle collectionnais des cahiers, des crayons et j’inventais des histoires. À huit ans, elle a décrit sa montre pendant deux pages et demie, alors qu’elle n’avais rien à dire sur cet objet insignifiant.. »

 

Pour cette femme, écrire est un véritable plaisir. Voire même une passion. Elle a gagné son premier prix de littérature à huit ans, son deuxième à 12 ans et son troisième beaucoup plus tard, en 1979, lorsqu’elle a remporté le V11ièmeconcours des auteurs dramatiques radiophoniques de Radio-Canada.

 

Avec son roman Les filles de Caleb, tome 1 Le Chant du coq et le tome 2 Le Cri de l’oie blanche, publié en 1985 et en 1986, elle obtient la renommée. Cette oeuvre, portée au petit écran, connut un vif succès. La série d’émissions diffusées à la télé de Radio-Canada fut très populaire au petit écran. La première série aura pour titre: Les filles de Caleb et la deuxième série: Blanche. Les lieux de tournage de la série, en Mauricie, sont devenus Le Village d’Émilie, on peut y visiter les décors intérieurs et extérieurs de la télésérie et diverses activités sont offertes aux visiteurs. Dans ce roman, Arlette Cousture a su mettre en valeur l’histoire des femmes québécoises. Elle est la petite-fille de son héroïne, Émilie Bordeleau, des filles de Caleb. Ce roman lui vaut Le Prix du public du Salon du livre de Montréal en 1987, le 1 er prix de Communication-Jeunesse et le prix des lecteurs du réseau des bibliothèques centrales de prêt du Québec.

 

Son roman Ces enfants d’ailleurs, Tome 1 et Tome 2 publié en 1992 et 1994, lui permit d’obtenir en 1995, le Grand Prix des lectrices et lecteurs du Journal de Montréal. Tout comme Les filles de Caleb, celui-ci fut porté à l’écran au Réseau TVA et produit par Téléfilm Canada en 1998. Cette série raconte le déchirement et le déracinement de la famille Pawlowski, au Canada, suite à la Seconde Guerre mondiale.

 

En 1997, Arlette Cousture, fut la personnalité littéraire choisie pour composer et lire la dictée des Amériques: Saynète à deux temps, en 1997.

 

C’est une auteure qui s’implique pour différentes causes telles la santé mentale, la sclérose en plaques et l’éducation.

 

I – Rolande Rouillard Dit Pronovost, fille d’Ovila Rouillard Dit Pronovost (1882-1951), et d’Emilie Bordeleau Dit Laforest (°1879), née vers 1918. ROLANDE EST LA BENJAMINE DE LA FAMILLE. ELLE N’A JAMAIS CONNU SON PERE QUI PAR

TIT QUELQUES MOIS APRES SA NAISSANCE. ELLE NE SE SOUVIENT QUE DE 2 RENCONTRES

AVEC LUI. ELLE EUT LA CHACE D’AVOIR SA MERE COMME INSTITUTRICE JUSQU’A L’AGE

DE 13 ANS ALORS QU’ELLE DEVINT PENSIONNAIRE AU COUVENT DE ST-TITE. ELLE EST LA

SEULE DE LA FAMNILLE A NE PAS ETUDIER SOUS LE STATUT D’ORPHELINE, SES FRERES

ET SOEURS PAYANT POUR ELLE. ELLE RESSEMBLA A SA MERE A TOUT POINT DE VUE, EN-

SEIGNERA PENDANT 23 ANS UN PEU PARTOUT; EN 1995, ELLE HABITE EN ONTARIO. À environ vingt-quatre ans, elle s’est mariée le samedi 26 décembre 1942, lendemain de Noël à St-Michel-Archange avec Lionel Buteau. Elle n’eut point de postérité.

 

7°  – Rosee Rouillard Dit Pronovost, fille de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), née le mardi 1er juillet 1884, décédée à Cap de la Madeleine (Champlain)  Qué le mardi 7 novembre 1967, à l’âge de quatre-vingt-trois ans. À dix-neuf ans, elle s’est mariée le mardi 1er septembre 1903 avec Arthur Veillette. On ne lui connaît pas de postérité.

 

8°  – Émile Rouillard Dit Pronovost, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à St-Tite (Champlain)  Qué le samedi 13 mars 1886, décédé en 1968, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le mardi 22 juin 1909 avec Hélèna Massicotte. On ne connaît aucun enfant de ce couple.

 

9°  – Éva Rouillard Dit Pronovost, fille de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), née le dimanche 8 avril 1888, décédée à Grand Mère (Champlain)  Qué le vendredi 11 janvier 1963, à l’âge de soixante-quinze ans, mariée avec Hormidas Rousseau. Descendance non connue. À dix-neuf ans, Éva s’est mariée une seconde fois le mardi 16 juillet 1907 avec Alphonse Couture. Descendance non connue.

 

10°  – Oscar Rouillard Dit Pronovost, chef de gare et maire, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né à St-Tite (Champlain)  Qué le lundi 3 mars 1890. IL EST UNE LEGENDE A ST-TITE. IL FUT D’ABORD AMBULANCIER DANS L’ARMEE AMERI-

CAINE ET DEVINT CHEF DE GARE ET MAIRE DE ST-TITE.

 

11°  – Télesphore Rouillard Dit Pronovost, bijoutier et zouave papal, fils de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), né le vendredi 20 novembre 1891, décédé vers 1914. TELESPHORE FUT BIJOUTIER A GRAND-MERE AVANT DE DEVENIR ZOUAVE DU PAPE; IL DECE

DA A L’AGE DE 23 ANS.

 

12°  – Marie-Anne-Hénédine Rouillard Dit Pronovost, fille de Dosithé Rouillard Dit Pronovost (1850-1913), cultivateur, et de Félicité Bédard (°1850), née à St-Tite (Champlain)  Qué le dimanche 29 avril 1894, décédée dans la même localité en 5, à l’âge de -1889 ans.

 

VII – Éléonore Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, décédée à Grand Mère (Champlain)  Qué le samedi 15 mai 1915, mariée le mardi 25 février 1862 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Joseph Richard, décédé le jeudi 28 avril 1898 à St-Tite (Champlain)  Qué. Leur union dura trente-six ans. De là naquirent Alice-Alex, Albert, Emma, Ludger, Lea, Napoleon et Rosanne qui suivent.

 

1°  – Alice-Alex Richard, fille de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915), née à St-Tite (Champlain)  Qué le mardi 24 mars 1863, décédée le dimanche 14 janvier 1945, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. À vingt-quatre ans, elle s’est mariée le lundi 8 août 1887 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Hypolite Poliquin. Elle n’eut point de postérité.

 

2°  – Albert Richard, fils de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915), né à St-Tite (Champlain)  Qué le mardi 10 avril 1866, mort à Trois Rivières (Mauricie)  Qué le mercredi 4 janvier 1933, à l’âge de soixante-sept ans. À vingt-deux ans, il s’est marié le lundi 27 août 1888 à Iron Monain (St-Joseph), Michigan avec Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure, née le mercredi 6 septembre 1871 aux Becquets (Nicolet) ((Québec)), décédée le dimanche 4 août 1946 à Cap de la Madeleine (Champlain)  Qué, à l’âge de soixante-quinze ans. Son décès survint après quarante-cinq ans de mariage. Il en eut Alice, Henri, Lea-Catherine, Augustine-Marie-Aurore, Marie-Marguerite, Gerard, Oscar, Joseph-Albert-Ulderic, Aurore, Eldridge, Andreanne et Gabriel qui suivent.

 

A – Alice Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946).

 

B – Henri Richard, marie: 06, 08, 1912 st-stan, fils d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), né à Iron Monain (St-Joseph), Michigan le jeudi 30 mai 1889, décédé à Montréal (Notre Dame du Foyer)  Qué le mardi 2 février 1960 [9], à l’âge de soixante et onze ans. IL SE MARIA LE 6 AOUT 1912, PARROISSE ST-STANISLAS DE MONTREAL.

 

C – Lea-Catherine Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946). Née à Iron Monain (St-Joseph), Michigan le lundi 2 juin 1890 [10], décédée à St-Tite (Champlain)  Qué le mercredi 13 juillet 1904, à l’âge de quatorze ans.

 

D – Augustine-Marie-Aurore Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946). Née à St-Tite (Champlain)  Qué le samedi 6 janvier 1894 [11], décédée dans la même localité le mardi 1er octobre 1895, dans sa première année.

 

E – Marie-Marguerite Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), née à St-Tite (Champlain)  Qué le mercredi 15 mai 1895.

 

F – Gerard Richard, fils d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), né à St-Tite (Champlain)  Qué.

 

G – Oscar Richard, fils d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), né à St-Tite (Champlain)  Qué le mardi 30 mars 1897, mort à Beauharnois  Qué le lundi 3 mai 1965, à l’âge de soixante-huit ans. À vingt ans, il s’est marié le lundi 11 juin 1917 à St-Thimothee (Qc) avec Edeenne Magny, née le jeudi 29 décembre 1898, décédée le samedi 9 juillet 1966 à Beauharnois  Qué, à l’âge de soixante-huit ans. Son décès survint après quarante-huit ans de mariage. Il en a eu Aline, Andre, Gaston, Jacqueline, Madeleine, Jeannine et Robert qui suivent.

 

a – Aline Richard, fille d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966).

 

b – Andre Richard, fils d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966).

 

c – Gaston Richard, fils d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966).

 

d – Jacqueline Richard, fille d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966). Née à Cap de la Madeleine (Champlain)  Qué le lundi 7 avril 1919 [12], morte le mardi 12 août 1919, dans sa première année.

 

e – Madeleine Richard, fille d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966). Née à Cap de la Madeleine (Champlain)  Qué le mercredi 14 juillet 1920 [13], décédée dans la même localité le vendredi 19 novembre 1920, dans sa première année.

 

f – Jeannine Richard, fille d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966). Née à Cap de la Madeleine (Champlain)  Qué le lundi 20 avril 1925 [14], décédée dans la même localité le jeudi 10 septembre 1925, dans sa première année.

 

g – Robert Richard, fils d’Oscar Richard (1897-1965), et d’Edeenne Magny (1898-1966).

 

H – Joseph-Albert-Ulderic Richard, fils d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), décédé à Iron Monain (St-Joseph), Michigan le vendredi 10 juillet 1891.

 

I – Aurore Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), née à St-Tite (Champlain)  Qué le mardi 21 mars 1899 [15], décédée à Montréal  Qué le samedi 23 juillet 1977, à l’âge de soixante-dix-huit ans. À vingt-sept ans, elle s’est mariée le samedi 8 mai 1926 à Trois Rivières (Mauricie)  Qué avec Charles-Edouard Hamel, né le dimanche 16 août 1903, décédé le dimanche 4 avril 1943 à Montréal  Qué, à l’âge de quarante ans. Leur union dura dix-sept ans. Elle n’eut point de postérité.

 

J – Eldridge Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), née à St-Tite (Champlain)  Qué le lundi 1er juillet 1901 [16].

 

K – Andreanne Richard, fille d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), née à St-Tite (Champlain)  Qué le vendredi 30 novembre 1906, morte à Montréal  Qué le mardi 4 octobre 1988, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. À vingt et un ans, elle s’est mariée le mercredi 16 février 1927 à Trois Rivières (Mauricie)  Qué avec Henri-Paul Hamel, né le lundi 11 juillet 1904 à Trois Rivières (Mauricie)  Qué, décédé le mardi 13 avril 1971 à Montréal  Qué, à l’âge de soixante-sept ans. Leur union dura quarante-quatre ans. Elle eut de celui-ci Pauline qui suit.

 

a – Pauline Hamel, fille d’Henri-Paul Hamel (1904-1971), et d’Andreanne Richard (1906-1988), née à Trois Rivières (Mauricie)  Qué le mardi 24 janvier 1928, décédée à Montréal  Qué le vendredi 12 décembre 1997, à l’âge de soixante-neuf ans. MARIEE A MONTREAL.

 

L – Gabriel Richard, fils d’Albert Richard (1866-1933), et de Marie-Rose-Amanda Lefebvre Dit Villemure (1871-1946), né à St-Tite (Champlain)  Qué en juillet 1907.

 

3°  – Emma Richard, fille de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915).

 

4°  – Ludger Richard, fils de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915), né à St-Tite (Champlain)  Qué le jeudi 24 février 1870. À vingt-huit ans, il s’est marié le lundi 18 juillet 1898 [17] à St-Tite (Champlain)  Qué avec Justine Trottier. Ils eurent Joseph qui suit.

 

A – Joseph Richard, fils de Ludger Richard (°1870), et de Justine Trottier.

 

5°  – Lea Richard, fille de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915).

 

6°  – Napoleon Richard, fils de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915).

 

7°  – Rosanne Richard, fille de Joseph Richard (†1898), et d’Éléonore Rouillard Dit Pronovost (†1915). Née à St-Tite (Champlain)  Qué le vendredi 20 novembre 1874 [18], décédée à Amos (Abitibi)  Qué le mardi 9 décembre 1941 [19], à l’âge de soixante-sept ans. À vingt-deux ans, elle s’est mariée le vendredi 14 août 1896 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Philippe Massicotte, décédé le lundi 5 juillet 1937 à Amos (Abitibi)  Qué. Leur union dura quarante et un ans. Sans descendance connue.

 

VIII – Francois-Xavier Rouillard Dit Pronovost, fils de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin.

 

IX – Alexina Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, née à St-Tite (Champlain)  Qué en mai 1854. À vingt-trois ans, elle s’est mariée le mercredi 11 juillet 1877 à St-Tite (Champlain)  Qué avec Joseph Bédard. On ne lui connaît pas de postérité.

 

X – Antoine Rouillard Dit Pronovost, fils de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, né à St-Tite (Champlain)  Qué en décembre 1857.

 

XI – Ovide Rouillard Dit Pronovost, fils de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin.

 

XII – Télesphore Rouillard Dit Pronovost, fils de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, mort à St-Tite (Champlain)  Qué le jeudi 13 mai 1915.

 

XIII – Obéline Rouillard Dit Pronovost, fille de Denis Rouillard Dit Pronovost (°1811), et de Marguerite Cossette Dit Potevin, née à St-Tite (Champlain)  Qué le mercredi 22 juillet 1863, décédée à St-Sévérin (Champlain) ((Québec)) le samedi 9 mai 1936, à l’âge de soixante-treize ans, mariée avec Arthur St-Arnaud. Elle n’eut point de postérité.

 

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[1] La qualité première de  pouvait être l’analyse. Le natif de la Vierge se caractérise en effet par un esprit subtil et analytique. Il observe tout avec réalisme et lucidité, afin de se prémunir contre les mauvais coups du sort. Pour un natif de la Vierge, la vie représente un danger permanent qui le pousse à développer un instinct infaillible. Il découvre toujours tout et sent immédiatement si une chose est fausse ou falsifiée. Il possède une grande expérience de la vie. Ses pensées ne sont pas tournées uniquement vers le présent mais également vers l’avenir. Du fait de sa grande acuité,  avait souvent tendance à être sceptique, critique et pessimiste.

[2] Date historique (24 mars 1882 : découverte du bacille de la tuberculose).

[3] Date historique (9 septembre 1901 : décès du peintre Henri Toulouse-Lautrec).

[4] Vers 1918 : le couple séparation.

[5] Date historique (24 décembre 1979 : premier lancement de la fusée européenne Ariane).

[6] Date historique (27 mars 1941 : Pierre II de Yougoslavie renverse les nazis).

[7] Date historique (23 février 1955 : cabinet Edgard Faure).

[8] Date historique (23 février 1955 : cabinet Edgard Faure).

[9] Date historique (2 février 1960 : vote des pouvoirs spéciaux).

[10] Son père mourut après elle.

[11] Son père mourut après elle.

[12] Son père mourut après elle.

[13] Son père mourut après elle.

[14] Son père mourut après elle.

[15] Date historique (21 mars 1899 : convention franco-anglaise sur le Soudan égyptien).

[16] Date historique (1er juillet 1901 : vote de la loi sur les associations).

[17] Date historique (18 juillet 1898 : Zola part en exil).

[18] Encore mineure lors du décès de son père, ce dut être Éléonore Rouillard Dit Pronovost, sa mère qui l’éleva.

[19] Date historique (9 décembre 1941 : la Chine entre en guerre).

By René Arbour

Management certificate of Credit Card (New York - 1983-84) Bac Administration , Security for the people (Minesota 1984)