HISTOIRE & GÉNÉALOGIE DE LA FAMILLE
ASCENDANCE DE GAUDET RENÉ (1929-)
et de ses alliances. Des origines à nos jours.
Le 19 avril 2012
La famille GAUDET est originaire de Martaizé, France où naquit, en l’an 1575, Jehan Gaudet , laboureur. En 1671, le plus lointain ancêtre de René. Son ascendance s’étend sur quatorze générations dans laquelle on dénombre 197 personnages répartis en 100 hommes et 98 femmes. Deux enfants sont nés avant le mariage et pas un n’a été conçu avant les noces de ses parents. Les jours les plus propices aux naissances étaient le mardi, le dimanche et le jeudi. Les baptêmes étaient administrés le plus souvent le mercredi. Les mariages quant à eux étaient célébrés les lundi, mardi et dimanche, et les décès les plus nombreux survenaient le vendredi, le mercredi et le samedi. Les mois les plus propices aux naissances étaient février, mars et juin. Les baptêmes étaient administrés le plus souvent en mars et en juin, et les décès les plus nombreux survenaient en août, en décembre et en juin. Les unions révèlent une seule endogamie professionnelle. On compte 1 unions entre cousins.
Génération I
1 – René Gaudet, fils d’Albert (1897-1966), et de Maria Blais (1900-1986), né à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le dimanche 8 septembre 1929. C’est là qu’il décéda et qu’il fut inhumé. À vingt-quatre ans, il s’est marié le jeudi 2 juillet 1953 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Côme avec Marielle Morin, née le jeudi 8 janvier 1931 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), où elle décéda. Naquit de cette femme Gilles Gaudet (°1960) [1].
Génération II
2/3 – Albert Gaudet, fils de Prosper (1857-1948), et d’Octavie Gauthier (°1862), né à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le samedi 6 février 1897. C’est là qu’il fut inhumé après son décès survenu le mercredi 9 février 1966, à l’âge de soixante-neuf ans. À vingt-deux ans, il s’est marié le mercredi 23 avril 1919 à Sainte-Émélie-de-L’Énergie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Sainte-Émélie-de-L’Énergie avec Maria Blais, née le dimanche 25 mars 1900 à Sainte-Émélie-de-L’Énergie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), décédée le vendredi 27 juin 1986 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de quatre-vingt-six ans, fille de Joseph, et de Cécilia Hétu. Son décès survint après quarante-sept ans de mariage. Il en a eu Laurent (1921-2006), Therese (°1927) et René Gaudet (°1929).
Génération III
4/5 – Prosper Gaudet, fils de Séraphin (1830-1908), et d’Adélaide Thibodeau (1834-1909), né à Saint-Alphonse-Rodriguez (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le mardi 23 juin 1857, baptisé le lendemain au même lieu [2], décédé en 1948, à l’âge de quatre-vingt-onze ans. À vingt-neuf ans, il s’est marié le lundi 16 août 1886 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Côme avec Octavie Gauthier, née le samedi 12 avril 1862 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), fille d’Octave (1836-1908), et de Marie Allard (°1840). De là naquirent Simea et Albert Gaudet (1897-1966).
6/7 – Joseph Blais, fils de Louis, et de Julie Morin, marié le lundi 20 janvier 1879 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Côme avec Cécilia Hétu, fille de François-Xavier, et d’Elisa Marion. Il en a eu Maria (1900-1986), Lucie, Donat (°1910), Palma (1912-1981) et Rita Blais (°1924).
Génération IV
8/9 – Séraphin Gaudet, fils de Pierre (°1795), et de Charlotte Hébert (°1799), né le mardi 23 mars 1830, baptisé à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Jacques de Montcalm le lendemain [3], décédé à Saint-Placide (CANADA) (Abitibi-Témiscamingue (Québec)) le samedi 25 avril 1908, à l’âge de soixante-dix-huit ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le lundi 19 septembre 1853 à Sainte-Julienne (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Sainte-Julienne avec Adélaide Thibodeau, née le mardi 29 juillet 1834 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), décédée le vendredi 19 février 1909 à Saint-Placide (CANADA) (Abitibi-Témiscamingue (Québec)), à l’âge de soixante-quinze ans, fille de Joseph, et de Marguerite Breault. Son décès survint après cinquante-cinq ans de mariage. De celle-ci naquirent Marie (°1854), Prosper (1857-1948), Hermine (°1859), Dolphis (1860-1887), Jean-Louis (°1862), Joseph (°1865), Hermeline (°1867), Julie (°1868), Odile (°1870), Odilon (°1872), Alcide (°1874), Zéphérina (1876-1950), Camilla (°1879) et Anonyme Gaudet (1881-1881).
10/11 – Octave Gauthier, dit Landreville, fils de François-Xavier (1808-1882), et de Louise Archambault (1817-1901), né en 1836, décédé le jeudi 27 février 1908, à l’âge de soixante-douze ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 1er octobre 1860 à Saint-Ambroise-de-Kildare (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Marie Allard, née en 1840. Ils ont eu Octavie (°1862) et Théophile Gauthier (1873-1953).
12/13 – Louis Blais, fils d’Olivier, et d’Henriette Bertrand [4], marié le mercredi 5 février 1873 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Côme avec Julie Morin, fille de Modeste (1821-1907), et de Felonise Gaudet (1824-1900). Il en eut Joseph, Marie, Diana, Philomène et Adelard Blais.
14/15 – François-Xavier Hétu, fils de Joseph, et d’Henriette Desrosiers-Lafrenière, marié le lundi 20 janvier 1879 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Côme avec Elisa Marion, fille de Jules, et de Stephanie Gaudet. De celle-ci naquit Cécilia Hétu.
Génération V
16/17 – Pierre Gaudet [5], fils d’Antoine (1764-1845), et d’Anne-Esther Gaudet (1766-1849), né à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le mardi 22 septembre 1795 [6]. À vingt-sept ans, il s’est marié le mardi 12 février 1822 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Jacques de Montcalm avec Charlotte Hébert, née le lundi 22 avril 1799 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), fille de Charles, et d’Angélique Girouard. Ils ont eu Felonise (1824-1900) et Séraphin Gaudet (1830-1908).
18/19 – Joseph Thibodeau, marié avec Marguerite Breault. Il eut de celle-ci Adélaide Thibodeau (1834-1909).
20/21 – François-Xavier Gauthier, dit Landreville, fils d’Antoine (1773-1836), et de Marie-Josephte Dugas, né à St-Roch de L’Achigan (CANADA) ((Québec)) le vendredi 20 mai 1808, décédé à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le mardi 26 septembre 1882, à l’âge de soixante-quatorze ans. À trente et un ans, il s’est marié le dimanche 15 septembre 1839 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Louise Archambault, née en 1817, décédée le jeudi 12 septembre 1901 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Son décès survint après quarante-trois ans de mariage. Il eut de sa conjointe Octave (1836-1908) et Felix Gauthier (°~1848).
24/25 – Olivier Blais, marié avec Henriette Bertrand. De celle-ci naquit Louis Blais.
26/27 – Modeste Morin, fils de Jean-Baptiste, et de Felisite Guildry, né en 1821, décédé à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le vendredi 1er mars 1907, inhumé le lundi 4 mars 1907 en la même localité, à l’âge de quatre-vingt-six ans [7]. À vingt-cinq ans, il s’est marié le lundi 23 février 1846 à Rawdon (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Patrice de Rawdon avec Felonise Gaudet, née en 1824, décédée le mercredi 22 août 1900 à Saint-Côme (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de soixante-seize ans, fille de Pierre (°1795), et de Charlotte Hébert (°1799). Leur union dura cinquante-quatre ans. Il eut de celle-ci Odile (1848-1936), Julie, Joseph, Prosper, Marie et Séraphin Morin (1852-1931).
28/29 – Joseph Hétu, fils de Pierre (1766-1841), et d’Ursule Tellemosse (1769-1806), marié le mardi 16 août 1831 à Sainte-Élisabeth (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Sainte-Élisabeth avec Henriette Desrosiers-Lafrenière, fille de Jean-Baptiste, et d’Anne Dupuis. Il eut de sa conjointe François-Xavier Hétu.
30/31 – Jules Marion [8], marié avec Stephanie Gaudet. Il eut de sa conjointe Elisa Marion.
Génération VI
32/33 – Antoine Gaudet [9], fils de Pierre (°1718), et de Marie-Marguerite Arsenault (°1718), né à St Roch (CANADA) ((Québec)) le dimanche 20 mai 1764, décédé à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le jeudi 6 novembre 1845, inhumé le surlendemain au même lieu, à l’âge de quatre-vingt-un ans. À vingt-cinq ans, il s’est marié le lundi 23 novembre 1789 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Jacques de Montcalm avec Anne-Esther Gaudet, née le vendredi 20 juin 1766 à St-Roch (CANADA) ((Québec)), décédée le vendredi 21 décembre 1849 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de quatre-vingt-trois ans, fille de Bonaventure (1742-1816), et de Marie Bourgeois (1741-1820), sa nièce du côté paternel [10]. Son décès survint après cinquante-six ans de mariage. Il en eut Antoine (1791-1872), Jean (1792-1857), Louis (1793-1801), Pierre (°1795), Joseph (°1799), Josèphe (°1801), Louis (1803-1889), Jules (1805-1858), Bonaventure (1808-1863), Sophie (°1809) et Joseph Gaudet.
34/35 – Charles Hébert, fils de Charles (°1723), et de Marguerite Landry (°1727), marié le mardi 23 avril 1799 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Angélique Girouard, fille de Joseph, et de Françoise Blanchard. Il en a eu Marie et Charlotte Hébert (°1799).
40/41 – Antoine Gauthier, dit Landreville, fils de Joseph (1731-1779), et de Marie Leblanc, né L’Assomption (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le jeudi 14 janvier 1773, décédé à Saint-Ambroise-de-Kildare (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le samedi 25 juin 1836, à l’âge de soixante-trois ans. À vingt-six ans, il s’est marié le lundi 28 octobre 1799 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Jacques de Montcalm avec Marie-Josephte Dugas. Il en a eu François-Xavier Gauthier (1808-1882).
52/53 – Jean-Baptiste Morin, marié avec Felisite Guildry. Il eut de sa conjointe Modeste Morin (1821-1907).
56/57 – Pierre Hétu, fils de Jean-Baptiste (1729-1802), et de Catherine Robillard (1730-1811), né à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le mardi 7 octobre 1766, décédé dans la même localité le lundi 4 octobre 1841, à l’âge de soixante-quinze ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 21 juin 1790 à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Lavaltrie avec Ursule Tellemosse, née le mercredi 22 février 1769 à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), y décédée le jeudi 19 juin 1806, à l’âge de trente-sept ans, fille d’Antoine (†1779), et de Josephte Han-Chaussé (†1779). Leur union dura seize ans. Ils eurent Joseph Hétu.
58/59 – Jean-Baptiste Desrosiers-Lafrenière, marié avec Anne Dupuis. Naquirent de celle-ci Marguerite et Henriette Desrosiers-Lafrenière.
Génération VII
64/65 – Pierre Gaudet, fils de Denis (°1686), et d’Anne Doucet (°1698), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1718. À vingt-deux ans, il s’est marié le lundi 14 novembre 1740 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marie-Marguerite Arsenault, née en 1718 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de François (°1694), et de Marguerite Bernard (°1700). Il eut de sa conjointe Bonaventure (1742-1816), Antoine (1764-1845), Louis et Marguerite Gaudet. À cinquante-trois ans, Pierre s’est marié une seconde fois en 1771 à ? (CANADA) ((Québec)) avec Ursule Lord.
66/67 – Bonaventure Gaudet [11], fils de Pierre (°1718), et de Marie-Marguerite Arsenault (°1718), né à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) en 1742, décédé le mardi 18 juin 1816et inhumée le lendemain dans la même localité, à l’âge de soixante-quatorze ans. À vingt-cinq ans, il s’est marié le dimanche 15 novembre 1767 L’Assomption (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Marie Bourgeois, née le lundi 27 novembre 1741 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée le vendredi 25 août 1820 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de soixante-dix-neuf ans, fille de Guillaume (1717-1779), et d’Anne Hébert (1720-1771). Son décès survint après quarante-neuf ans de mariage. Il en eut Anne-Esther (1766-1849), Bonaventure, Elie et Marguerite Gaudet (†1832).
68/69 – Charles Hébert, fils d’Augustin (†1763), et d’Anne Boudrot (°1694), né à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1723, marié avec Marguerite Landry, née en 1727 à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de René (1688-1769), et de Marie-Madeleine Melanson (°1694) [12]. Il eut de sa conjointe Charles, Judith, Marguerite et Marie-Charlotte Hébert (°1762).
70/71 – Joseph Girouard, fils de François, et d’Anne Bourgeois, marié avec Françoise Blanchard. Il eut de sa conjointe Angélique Girouard. Joseph s’est marié une seconde fois le lundi 3 juillet 1758 à Quebec (CANADA) (Capitale-Nationale (Quebec)) avec Marie-Josephte Arsenault, fille de Paul (†1779), et de Madeleine Hébert. Il eut pour enfant Angélique Girouard.
80/81 – Joseph Gauthier, dit Landreville, né à Varennes (CANADA) (Montérégie (Québec)) le mardi 20 février 1731, décédé le mardi 7 décembre 1779, veille de la fête de la Conception, à l’âge de quarante-huit ans. À vingt-cinq ans, il s’est marié le lundi 12 janvier 1756 L’Assomption (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Agathe Laperche, née le lundi 6 février 1736 L’Assomption (CANADA) (Lanaudière (Québec)), décédée le mercredi 28 novembre 1759, à l’âge de vingt-trois ans. Leur union dura trois ans. Il eut pour enfant Joseph Gauthier (1756-1814). À trente et un ans, et après environ trois ans de veuvage, une deuxième fois. Il s’est marié le lundi 8 février 1762 avec Marie-Louise Gregoire, décédée en 1763. Leur union dura un an. À trente-deux ans, et après environ un an de veuvage, en troisièmes noces. Il s’est marié le lundi 10 octobre 1763 avec Françoise Loiselle, décédée en 1767. Leur union dura quatre ans. À trente-sept ans, et après environ un an de veuvage, en quatrièmes et dernières noces. Il s’est marié le lundi 22 août 1768 avec Marie Leblanc. Il en a eu Antoine Gauthier (1773-1836).
112/113 – Jean-Baptiste Hétu, fils de Jean-Baptiste (1703-1791), et de Marguerite Gauthier-Landreville (1704-1782), né à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le samedi 11 juin 1729, décédé dans la même localité le dimanche 28 mars 1802, à l’âge de soixante-treize ans. À vingt ans, il s’est marié le lundi 17 novembre 1749 à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Lavaltrie avec Catherine Robillard, née le jeudi 9 février 1730 à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)), décédée le lundi 17 juin 1811 à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de quatre-vingt-un ans, fille de Pierre (1692-1749), et de Catherine Cottu (°1693). Son décès survint après cinquante-trois ans de mariage. Il eut de celle-ci Pierre Hétu (1766-1841).
114/115 – Antoine Tellemosse, dit Sanregret, décédé à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le dimanche 22 août 1779, marié le lundi 1er février 1762 à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Josephte Han-Chaussé, décédée le vendredi 8 janvier 1779. Leur union dura dix-sept ans. Il eut pour enfant Ursule Tellemosse (1769-1806).
Génération VIII
128/129 – Denis Gaudet, fils de Pierre (°1654), et de Marie Blanchard, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1686. À vingt-huit ans, il s’est marié en 1714 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne Doucet, née en 1698 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Toussaint, et de Marie Quessy (°1669). Il eut de celle-ci Pierre Gaudet (°1718).
130/131 – François Arsenault, fils de Pierre (†1710), et de Marie Guérin (†1723), né à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1694. À vingt-cinq ans, il s’est marié le mardi 10 janvier 1719 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marguerite Bernard, née en 1700 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de René (°1663), et de Madeleine Doucet (°1669). Ils ont eu Marie-Marguerite Arsenault (°1718).
132/133 – voir 64
134/135 – Guillaume Bourgeois [13], fils de Guillaume (1674-1747), et de Catherine Thibodeau (1686-1756), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le mardi 4 mai 1717, décédé à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le dimanche 21 novembre 1779, à l’âge de soixante-deux ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 6 février 1741 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne Hébert, née le dimanche 14 avril 1720 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée le vendredi 18 janvier 1771 à Saint-Jacques (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de cinquante et un ans, fille d’Alexandre (1686-1748), et de Marie-Josèphe Dupuis. Leur union dura trente ans. Il eut de sa conjointe Marie (1741-1820), Theotiste (1746-1814) et Joseph Bourgeois (1752-1813).
136/137 – Augustin Hébert, dit Jolicœur, fils de Jehan (†1710), et d’Anne Doucet, né à Rivière-aux-Vieux-Habitants (CANADA) ((Nouvelle-Écosse)), décédé à Laprairie (CANADA) ((Québec)) le mercredi 10 août 1763, marié le lundi 19 septembre 1712 à Saint-Charles-les-Mines (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne Boudrot, née en 1694 à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Claude (1663-1740), et d’Anne-Marie Thibodeau (1665-1698). Naquit de cette femme Charles Hébert (°1723).
138/139 – René Landry [14], fils de Claude (°1663), et de Catherine-Marie Thibodeau, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1688, décédé à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) le dimanche 19 février 1769, à l’âge de quatre-vingt-un ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le mardi 8 novembre 1712 à Saint-Charles-les-Mines (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marie-Madeleine Melanson, née en 1694 à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée à ? (ÉTATS-UNIS) ((Massachusetts)), fille de Pierre (°1670), et de Marie-Rosalie Blanchard. Ils ont eu Marguerite Landry (°1727).
140/141 – François Girouard, marié le mardi 7 février 1708 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne Bourgeois. Ils ont eu Joseph Girouard.
224/225 – Jean-Baptiste Hétu, fils de Georges (1665-1747), et de Marie Loiseau (1680-1726), né à Boucherville (CANADA) (Montérégie (Québec)) en 1703, décédé à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le dimanche 6 mars 1791, à l’âge de quatre-vingt-huit ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 12 mai 1727 à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Sulpice avec Marguerite Gauthier-Landreville, née le vendredi 11 janvier 1704 à Repentigny (CANADA) (Lanaudière (Québec)), décédée en novembre 1782 à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de soixante-dix-huit ans, fille de Louis (°1676), et de Marguerite Ménard (°1671). Leur union dura cinquante-cinq ans. Naquit de cette femme Jean-Baptiste Hétu (1729-1802).
226/227 – Pierre Robillard, fils de Claude (~1650-1719), et de Marie Grondin (†1708), né à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) le dimanche 28 septembre 1692, veille de la Saint-Michel, décédé à Lavaltrie (CANADA) (Lanaudière (Québec)) le vendredi 31 janvier 1749, à l’âge de cinquante-sept ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le mardi 5 novembre 1715 à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)) avec Catherine Cottu, née le samedi 21 mars 1693 à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)), fille de François, et de Louise Le Siège. Ils eurent Catherine Robillard (1730-1811).
Génération IX
256/257 – Pierre Gaudet [15], fils de Denis (1625-1709), laboureur En 1671, et de Martine Gauthier (°1615), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1654, marié avec Marie Blanchard, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Martin, et de Françoise Leblanc (1653-~1681) [16]. Ils ont eu Jeanne (°1684), Bernard (†1751) et Denis Gaudet (°1686).
258/259 – Toussaint Doucet [17], fils de Pierre (1621-1713), maçon, et d’Henriette Pelletret (1641-1693), né et décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), marié avec Marie Quessy, née en 1669 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Roger, et de Marie-Françoise Poirier. De celle-ci naquit Anne Doucet (°1698).
260/261 – Pierre Arsenault [18], fils d’Abraham, et de Marguerite Doucet, né à Rochefort (Charente), décédé à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1710, marié vers 1675 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marguerite Dugas, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1688, fille d’Abraham (†1698), armurier et Lieutenant-général, et de Marguerite-Louise Doucet (1625-1707). Leur alliance dura près de treize ans. De celle-ci naquirent Abraham et Claude Arsenault. Après environ un an de veuvage, une seconde fois. Il s’est marié le lundi 21 novembre 1689 à Beaubassin (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marie Guérin, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée le dimanche 25 avril 1723, fille de François (†1671), et de Marie Blanchard. Son décès survint après vingt et un ans de mariage. Naquirent de celle-ci François (°1694), Charles (°1696), Anna (°1698), Augustin (°1703) et Jacques Arsenault.
262/263 – René Bernard, fils d’André (1620-1649/1711), et de Marie-Andrée Guyon (°1616), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1663, marié avec Madeleine Doucet, née en 1669 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), où elle décéda, fille de Pierre (1621-1713), maçon, et d’Henriette Pelletret (1641-1693). De là naquit Marguerite Bernard (°1700).
268/269 – Guillaume Bourgeois, fils de Germain, et de Marguerite Béliveau, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1674, décédé dans la même localité le lundi 7 août 1747, à l’âge de soixante-treize ans. À trente et un ans, il s’est marié le vendredi 17 avril 1705 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Catherine Thibodeau, née en 1686 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée le mercredi 25 août 1756 à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de soixante-dix ans. Son décès survint après quarante-deux ans de mariage. Ils ont eu Guillaume Bourgeois (1717-1779).
270/271 – Alexandre Hebert [19], fils d’Emmanuel (1654-1744), et d’Andrée Brun (1646-1727), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1686, décédé dans la même localité le mardi 13 août 1748, à l’âge de soixante-deux ans. À vingt-six ans, il s’est marié le mardi 26 janvier 1712 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marie-Josèphe Dupuis, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Pierre (1668-1709), et de Madeleine Landry (1656-1740). Ils eurent Marie-Josephte (°1717) et Anne Hébert (1720-1771).
272/273 – Jehan Hébert, fils d’Antoine (1621-1693), tonnelier, et de Geneviève Lefranc, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédé à Saint-Charles-les-Mines (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le lundi 3 novembre 1710, marié entre 1675 et 1676 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne Doucet, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Pierre (1621-1713), maçon, et d’Henriette Pelletret (1641-1693). De celle-ci naquirent Jacques (1677-1756), Pierre (1679-1756), Augustin (†1763), Christophe (°1689/1691), Jean (1681-1702), Jeanne (1683-1704), Anne (°1686), Geneviève (°1686), Joseph (°1686), Madeleine (°1694/1696) et René Hébert (1688-1768).
274/275 – Claude Boudrot [20], fils de Michel (1601-1688), lieutenant Général et Juge, et de Michelle Aucoin (1621-1706), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), Acadie en 1663 [21], décédé à Saint-Charles-les-Mines (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le lundi 7 mars 1740, inhumé en mars 1740 au même endroit, à l’âge de soixante-dix-sept ans. À vingt-trois ans, il s’est marié en 1686 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Anne-Marie Thibodeau, née en 1665 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), y décédée en 1698, à l’âge de trente-trois ans, fille de Pierre (1631-1704), meunier de la Préronde, et de Jeanne Terriot (1643-1726). Leur union dura douze ans. Naquirent de celle-ci Marie (1692-~1763), Marguerite, Anne (°1694) et Marie-Anne Boudrot. À trente-sept ans, et après environ deux ans de veuvage, une deuxième fois. Il s’est marié en 1700 à Grand Pre Ou Port Royal (CANADA) ((Québec)) avec Catherine Meunier Mugnier, née en 1660, décédée avant 1736 à ? (CANADA) ((Acadie)). Leur union dura trente-six ans, au plus. en troisièmes et dernières noces. Il s’est marié avec Anne Hébert, née en 1686 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Jehan (†1710), et d’Anne Doucet.
276/277 – Claude Landry, fils de René, et de Marie Bernard (°1645), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1663, marié avec Catherine-Marie Thibodeau, née et décédée à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)). Il en a eu René Landry (1688-1769). Claude s’est marié une deuxième fois avec Jeanne Bellemaire. Claude s’est marié en troisièmes et dernières noces avec Marie Babin, fille d’Antoine (°1626), et de Marie Mercier (°1645).
278/279 – Pierre Melanson, fils de Pierre (1632-1725), militaire et Capitaine de Milice, et de Marie-Marguerite Mius-d’Entremont, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1670, décédé à ? (CANADA) ((Île-du-Prince-Édouard)), marié avec Marie-Rosalie Blanchard, née à Rort-Royal Acadie (CANADA) (Nova Scotia) et décédée à Cobeguid (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Martin, et de Françoise Leblanc (1653-~1681). Il eut de sa conjointe Marie-Madeleine Melanson (°1694).
448/449 – Georges Hétu, dit Lafleur, fils de Jean (°1634), et de Claire Cordier (°~1634), né au Havre (76600 (Haute-Normandie)) le mercredi 29 avril 1665, décédé à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)) en 1747, à l’âge de quatre-vingt-deux ans [22]. À trente-quatre ans, il s’est marié le lundi 9 février 1699 à Boucherville (CANADA) (Montérégie (Québec)), Église de Boucherville avec Marie Loiseau, née le mardi 4 juin 1680 à Boucherville (CANADA) (Montérégie (Québec)), décédée le samedi 18 mai 1726 à Saint-Sulpice (CANADA) (Lanaudière (Québec)), à l’âge de quarante-six ans, fille de Lucas (1640-1703), et de Françoise Curé (1646-1708). Leur union dura vingt-sept ans. Ils ont eu Jean-Baptiste Hétu (1703-1791).
450/451 – Louis Gauthier-Landreville, né à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) le dimanche 29 mars 1676. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 25 janvier 1700 à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) avec Marguerite Ménard, née en 1671, fille de Pierre, et de Marguerite Deshais. Il en a eu Marguerite Gauthier-Landreville (1704-1782).
452/453 – Claude Robillard [23], né à Rouen (76000 (Haute-Normandie)) vers 1650, décédé à Champlain (CANADA) (Mauricie (Québec)) le mercredi 24 mai 1719. À environ vingt ans, il s’est marié le vendredi 8 août 1670 à Champlain (CANADA) (Mauricie (Québec)) avec Marie Binard, née à Rouen (76000 (Haute-Normandie)), décédée à Champlain (CANADA) (Mauricie (Québec)) en 1680. Leur union dura dix ans. De là naquirent Marie-France (°1672), Adrien (°1679), Claude (°1679) et Marie-Jeanne Robillard. À environ trente et un ans, et après environ un an de veuvage, une deuxième fois. Il s’est marié le mardi 4 mars 1681 à Champlain (CANADA) (Mauricie (Québec)) avec Marie Grondin, née à Rouen (76000 (Haute-Normandie)), décédée à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) le mercredi 31 octobre 1708 [24]. Leur union dura vingt-sept ans. Il en eut Louis (°1682), Nicolas (°1684), Marie (°1686), Joseph (1689-1768), Pierre (1692-1749) et Pierre Robillard (°1692). À environ cinquante-neuf ans, et après environ un an de veuvage, en troisièmes et dernières noces. Il s’est marié le dimanche 27 janvier 1709 à Montréal (CANADA) (Montréal (Québec)) avec Marie Guillin, née à Rouen (76000 (Haute-Normandie)), décédée à Champlain (CANADA) (Mauricie (Québec)) en 1720 [25]. Son décès survint après dix ans de mariage.
454/455 – François Cottu, marié avec Louise Le Siège. De là naquit Catherine Cottu (°1693).
Génération X
512/513 – Denis Gaudet, laboureur En 1671, fils de Jehan (1575-1671), laboureur En 1671, et de Marie Daussy (1580-~1628), né à Martaize en 1625, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le vendredi 11 octobre 1709, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. À environ vingt ans, il s’est marié vers 1645 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Martine Gauthier, née en 1615 à Paris (75000 (Île-de-France)). Il eut de celle-ci Marie (†1734) et Pierre Gaudet (°1654).
514/515 – Martin Blanchard, fils de Jean (°~1611), et de Radegonde Lambert (†1689), né et décédé à Cobeguid (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), marié avec Marguerite Guillebault. Martin s’est marié une seconde fois en 1670 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Françoise Leblanc, née en 1653 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédée vers 1681, fille de Daniel, et de Françoise Gaudet (°1623). De là naquirent Marie, Marie-Rosalie, Françoise (°1672) et René Blanchard (°1677).
516/517 – Pierre Doucet [26], maçon, fils de Germain (°1595), major, soldat, et de Marie Bourgeois (°1595), né à Sedan (08200 (Champagne-Ardenne)) en 1621, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le vendredi 2 juin 1713, à l’âge de quatre-vingt-douze ans. À trente-neuf ans, il s’est marié en 1660 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Henriette Pelletret, née en 1641 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), y décédée en 1693, à l’âge de cinquante-deux ans, fille de Simon (°1622), et de Perrine Bourg. Leur union dura trente-trois ans. De celle-ci naquirent Madeleine (°1669), Anne, Toussaint, Germain et Jean Doucet.
518/519 – Roger Quessy [27], né et décédé à ? (IRLANDE), marié avec Marie-Françoise Poirier, fille de Jehan (°1621), et de Jeanne Chabrol (°1626). Ils ont eu Marie Quessy (°1669).
520/521 – Abraham Arsenault, marié avec Marguerite Doucet. Ils ont eu Pierre Arsenault (†1710).
522/523 – François Guérin, fils de Jérôme, et de Marie Blanchard, né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), décédé dans la même localité en 1671, marié avec Marie Blanchard, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Martin, et de Françoise Leblanc (1653-~1681) [28]. Il eut de celle-ci Marie Guérin (†1723).
524/525 – André Bernard [29], né à Beauvoir-sur-Mer (85230 (Pays de la Loire)) en 1620, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) entre 1649 et 1711, marié avec Marie-Andrée Guyon, née en 1616 à La Chaussée Vienne. Ils eurent René Bernard (°1663).
536/537 – Germain Bourgeois, fils de Jacques (1621-1699), chirurgien, et de Jeanne Trahan, né et décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), marié avec Madeleine Dugas, née à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille d’Abraham (†1698), armurier et Lieutenant-général, et de Marguerite-Louise Doucet (1625-1707). De là naquirent Agnès (1686-1742), Joseph (°1690), Claude (1695-1760), Françoise (°1698) et Madeleine Bourgeois (°1704). Germain s’est marié une seconde fois avec Marguerite Béliveau, née à Queyrae (Gironde), fille d’Antoine. Ils ont eu Guillaume Bourgeois (1674-1747).
540/541 – Emmanuel Hébert, fils d’Etienne (1625-1670), laboureur, et de Marie Gaudet (1633-1710), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1654 [30], décédé à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1744, à l’âge de quatre-vingt-dix ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié en 1678 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Andrée Brun, née le mardi 21 août 1646 à La Chaussée (Vienne Poitou), décédée le samedi 26 juillet 1727 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de quatre-vingt-un ans, fille de Vincent, et de Renée Brault [31]. Leur union dura quarante-neuf ans. Il eut de sa conjointe Alexandre (1686-1748) et Jean Hebert (~1686-1784).
542/543 – Pierre Dupuis, fils de Michel (1634-1700), et de Marie Gautherot (1636-1732), né à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1668, décédé dans la même localité le lundi 9 septembre 1709, lendemain de la fête de la Nativité de la Sainte-Vierge, à l’âge de quarante et un ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié en 1692 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Madeleine Landry, née en 1656 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), y décédée le mercredi 17 février 1740, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans, fille de René, et de Perrine Bourg. Son décès survint après dix-sept ans de mariage. Il en a eu Marie (1693-1751), Charles (1698-1790), Marie-Josèphe et Pierre Dupuis (1700-1757).
544/545 – Antoine Hébert, tonnelier, fils de Jacques (†1670), et de Marie Juneau (1600-1621), né à La Haye (Descartes) en 1621 [32], décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1693, à l’âge de soixante-douze ans, marié avec Geneviève Lefranc, née à Descardes (Centre Val De Loire) [33]. De là naquirent Jehan (†1710) et Catherine Hébert.
546/547 – voir 516
548/549 – Michel Boudrot [34], lieutenant Général et Juge, né à Cougnes (Charente-Maritime (Poitou-Charentes)) en 1601, décédé à Port Royal (CANADA) ((Quebec)), Acadie en 1688, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. À trente-neuf ans, il s’est marié en 1640 à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)) avec Michelle Aucoin, née en 1621 à Cougnes (Charente-Maritime (Poitou-Charentes)), décédée le vendredi 17 décembre 1706 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), Acadie, à l’âge de quatre-vingt-cinq ans, fille de Martin (°1590), et de Barbe Minguette (1600-1631). Son décès survint après quarante-huit ans de mariage. Il en eut Françoise (°1642), Marie (1645-1710), Marguerite (1648-1718) et Claude Boudrot (1663-1740).
550/551 – Pierre Thibodeau [35], meunier de la Préronde, né à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)) en 1631, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le vendredi 26 décembre 1704, lendemain de Noël, à l’âge de soixante-treize ans. À vingt-neuf ans, il s’est marié en 1660 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Jeanne Terriot, née en 1643 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), y décédée le samedi 7 décembre 1726, veille de la fête de la Conception, à l’âge de quatre-vingt-trois ans, fille de Jehan (~1601-1671/1678), et de Perrine Brault (~1611-~1671). Son décès survint après quarante-quatre ans de mariage. Ils ont eu Anne-Marie (1665-1698) et Pierre Thibodeau (°1678).
552/553 – René Landry, né et décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), marié avec Marie Bernard, née en 1645 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)). De là naquirent Claude (°1663), Germain, Antoine, Marie (1670-1746) et Marguerite Landry (°1672).
556/557 – Pierre Melanson, dit Sieur Laverdure [36], militaire et Capitaine de Milice, fils de Pierre (1608-1676), et de Priscilla Mallanson (1613-1691), né à York ((Yorkshire)) en 1632, décédé et inhumé le lundi 6 août 1725 à Grand-Pré (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), Cimetière de Grand-Pré, à l’âge de quatre-vingt-treize ans. À trente-trois ans, il s’est marié en 1665 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Marie-Marguerite Mius-d’Entremont, née à Normandie, fille de Philippe (°1601), major Général et Procureur Général en Acadie, militaire, et de Magdeleine Hély. Il eut de sa conjointe Philippe-Claude (1666-1744), Cecile (1668-1753), Pierre (°1670), Marie (°1673), Marguerite (1676-1744), Isabelle (1679-1720), Jean (1681-1760), Madeleine (°1684), Anne (°1686) et Paul Melanson (°1691).
896/897 – Jean Hétu, dit Lafleur, né au Havre (76600 (Haute-Normandie)) le samedi 7 octobre 1634. À vingt ans, il s’est marié le mardi 27 janvier 1654 au Havre (76600 (Haute-Normandie)), Cathédrale de Notre-Dame du Havre, Le Havre avec Claire Cordier, née vers 1634, fille de Jean, et de Magdeleine Veron. Ils ont eu Georges Hétu (1665-1747).
898/899 – Lucas Loyseau, né à Archigny (86210 (Poitou-Charentes)) en 1640, décédé à Boucherville (CANADA) (Montérégie (Québec)) le mercredi 14 mars 1703, à l’âge de soixante-trois ans. À vingt-neuf ans, il s’est marié le jeudi 19 décembre 1669 avec Françoise Curé, née en 1646 à Grévillers (62450 (Nord-Pas-de-Calais)), décédée le jeudi 19 janvier 1708 à Boucherville (CANADA) (Montérégie (Québec)), à l’âge de soixante-deux ans, fille de Pierre, et de Barbe Charles. Son décès survint après trente-quatre ans de mariage. Ils eurent Madeleine et Marie Loiseau (1680-1726).
902/903 – Pierre Ménard, marié avec Marguerite Deshais. De celle-ci naquirent Madeleine et Marguerite Ménard (°1671).
Génération XI
1024/1025 – Jehan Gaudet [37], laboureur En 1671, né et baptisé en 1575 à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)), décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1671, à l’âge de quatre-vingt-seize ans, marié avec Nicole Colson, née en 1600. À vingt-trois ans, Jehan s’est marié une deuxième fois en 1598 à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)) avec Marie Daussy, née en 1580 à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)), Basse Normandie, décédée vers 1628 à Loudon (Chatellerault). Leur union dura trente ans. De celle-ci naquirent Jeannette (1602-1647), Françoise (°1623) et Denis Gaudet (1625-1709). À environ cinquante-quatre ans, et après environ un an de veuvage, en troisièmes et dernières noces. Il s’est marié vers 1629 à Martaize (Loudun) avec Geneviève Lefranc, née à Descardes (Centre Val De Loire) [38]. Il en a eu Jean et Marie Gaudet (1633-1710).
1028/1029 – Jean Blanchard, fils de Guillaume, et d’Huguette Poirier, né à La Chaussé (Au Loudunois) vers 1611. À environ vingt et un ans, il s’est marié vers 1632 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Radegonde Lambert, née à ? (CANADA), décédée à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1689, fille de Jehan, et d’Epouse Micmaque. Naquirent de celle-ci Bernard, Guillaume, Madeleine (~1633-1686) et Martin Blanchard.
1030/1031 – Daniel Leblanc, né et décédé à Loudun (Vienne), marié vers 1650 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Françoise Gaudet, née en 1623 à Martaize (Loudun), fille de Jehan (1575-1671), laboureur En 1671, et de Marie Daussy (1580-~1628) [39]. Il en a eu Jacques (°1651), Françoise (1653-~1681), Étienne (°1656), René (1657-1734), André (°1659), Antoine (1662-1730) et Pierre Leblanc (°1664).
1032/1033 – Germain Doucet [40], major, soldat, né à Conflans-Sainte-Honorine (78700 (Île-de-France)) en 1595, décédé à ? (CANADA), marié avec Marie Bourgeois, née en 1595 à Coupreans (En-Brie), fille de Nicolas, et de Renée Desloges. Ils eurent Pierre (1621-1713) et Marguerite-Louise Doucet (1625-1707).
1034/1035 – Simon Pelletret, né à Paris (75000 (Île-de-France)) en 1622, marié avec Perrine Bourg, née à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)) et décédée à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Simon, et d’Hélène Comtee [41]. Naquirent de celle-ci Henriette (1641-1693) et Jeanne Pelletret (†1706).
1038/1039 – Jehan Poirier, né à La Chaussée en 1621, marié avec Jeanne Chabrol, née le jeudi 5 février 1626 [42] à La Chaussee (Loudun), fille de Jean, et de Françoise Chaumeret [43]. Il eut de sa conjointe Marie-Françoise Poirier.
1044/1045 – Jérôme Guérin, né et décédé à Martaize (Loudun), marié avec Marie Blanchard, née à Martaize (Loudun), fille de Guillaume, et d’Huguette Poirier. De celle-ci naquit François Guérin (†1671).
1072/1073 – Jacques Bourgeois [44], chirurgien, fils de Nicolas, et de Renée Desloges, né à Coutrans (Perte Guacher (Ch)) le jeudi 28 janvier 1621, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), inhumé au même endroit en 1699, à l’âge de soixante-dix-huit ans, marié avec Jeanne Trahan, née à Paris (75000 (Île-de-France)) et décédée à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Guillaume (°~1600), maréchal Ferrant, et de Françoise Corbineau (°1599). Il en eut Germain et Françoise Bourgeois (†1693).
1074/1075 – Antoine Bélliveau [45], né et décédé à ? (CANADA), père de Marguerite et Jean-Antoine Bélliveau (1652-1734).
1080/1081 – Etienne Hébert [46], laboureur, fils de Jacques (†1670), et de Marie Juneau (1600-1621), né à La Haye (Descartes) en 1625 [47], décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1670, à l’âge de quarante-cinq ans, marié avec Marie Gaudet, née en 1633 à Martaize (Loudun), décédée le mercredi 30 juillet 1710 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de soixante-dix-sept ans, fille de Jehan (1575-1671), laboureur En 1671, et de Geneviève Lefranc [48]. Il eut de sa conjointe Marie (°1651) et Emmanuel Hébert (1654-1744).
1082/1083 – Vincent Brun [49], né et décédé à La Chaussée (Vienne Poitou), marié avec Renée Brault, née à La Chaussée (Vienne Poitou). Il en eut Madeleine (°1645), Andrée (1646-1727) et Françoise Brun (°1652).
1084/1085 – Michel Dupuis [50], fils de Martin (1612-1671), et de Perrine Terriot (1626-1671), né à La Chaussée Loudun (Poitou) en 1634, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) le samedi 29 mai 1700, à l’âge de soixante-six ans, marié avec Marie Gautherot, née en 1636 à Martaize (Loudon), décédée le samedi 29 novembre 1732 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de quatre-vingt-seize ans, fille de François (1613-1692), et d’Édmée Lejeune (~1620-1687) [51]. De là naquirent Martin (1666-1713) et Pierre Dupuis (1668-1709).
1086/1087 – René Landry [52], fils de Jean-Claude (°1593), et de Marie Sale (°1600), né et décédé L’Oudon (14170 (Basse-Normandie)), marié avec Perrine Bourg, née à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)) et décédée à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Simon, et d’Hélène Comtee [53]. Il eut de sa conjointe Marie (°~1640), Madeleine (1656-1740), Marie-Henriette, Claude (1662-1742) et Pierre Landry.
1088/1089 – Jacques Hébert [54], fils de Nicolas (~1540-1600), et de Jacqueline Pajot (†1580), né à La Haye (Descartes), décédé en 1670, marié en 1620 à La Haye (Descartes) avec Marie Juneau, née en 1600 à La Haye (Descartes), décédée en 1621 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de vingt et un ans. Leur union dura un an. Il en eut Antoine (1621-1693) et Etienne Hébert (1625-1670).
1098/1099 – Martin Aucoin, né à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)) en 1590. À quarante-deux ans, il s’est marié le mardi 20 janvier 1632 avec Marie Sallé. Martin s’est marié une seconde fois avec Barbe Minguette, née en 1600 à ? (CANADA), décédée en 1631 à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)), à l’âge de trente et un ans. Ils eurent Michelle Aucoin (1621-1706).
1102/1103 – Jehan Terriot [55], né à Martaise (Vienne Poitou) vers 1601, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) entre 1671 et 1678. À environ trente-quatre ans, il s’est marié le mardi 8 mai 1635 à Martaise (Vienne Poitou) avec Perrine Brault, née vers 1611 à Martaise (Vienne Poitou), décédée vers 1671 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)). Ils ont eu Claude (1637-1725), Jehan (°1639), Bonaventure (1641-1731), Jeanne (1643-1726), Germain (1646-1676), Catherine (1650-1713) et Pierre Terriot (1654-1725).
1112/1113 – Pierre Laverdure [56], né à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)) en 1608, décédé à Boston (Côte Est (Lincoinshire)) le mardi 1er décembre 1676, à l’âge de soixante-huit ans. À vingt-deux ans, il s’est marié en 1630 à York ((Yorkshire)) avec Priscilla Mallanson, née en 1613 à York ((Yorkshire)), décédée le samedi 1er décembre 1691 à Boston (Côte Est (Lincoinshire)), à l’âge de soixante-dix-huit ans. Son décès survint après quarante-six ans de mariage. De celle-ci naquirent Pierre (1632-1725) et Charles Melanson (1643-1700).
1114/1115 – Philippe d’Entremont [57], major Général et Procureur Général en Acadie, militaire, né à Normandie le mercredi 14 novembre 1601, décédé à Saint-Charles-les-Mines (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), Cimetière Saint-Charles-les-Mines, marié avec Magdeleine Hély, née à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)). Naquit de cette femme Marie-Marguerite Mius-d’Entremont.
1794/1795 – Jean Le Cordier, marié avec Magdeleine Veron. De là naquit Claire Cordier (°~1634).
1798/1799 – Pierre Curé, marié avec Barbe Charles. De celle-ci naquit Françoise Curé (1646-1708).
Génération XII
2056/2057 – Guillaume Blanchard [58], né et décédé à ? (CANADA), marié avec Huguette Poirier, née à Martaize (Loudun). Il en eut Jean (°~1611) et Marie Blanchard.
2058/2059 – Jehan Lambert, marié avec Epouse Micmaque. Ils ont eu Radegonde Lambert (†1689).
2066/2067 – Nicolas Bourgeois [59], né et décédé à Saint-Germain (10120 (Champagne-Ardenne)), marié avec Renée Desloges, née à Saint-Germain (10120 (Champagne-Ardenne)). De là naquirent Marie (°1595) et Jacques Bourgeois (°1621).
2070/2071 – Simon Bourg, marié avec Hélène Comtee. Ils eurent Perrine Bourg.
2078/2079 – Jean Chabrol, marié avec Françoise Chaumeret, née à ? (CANADA). Ils eurent Jeanne Chabrol (°1626).
2146/2147 – Guillaume Trahan [60], maréchal Ferrant, fils de Nicolas, et de Renée Desloges, né à Montreuil-Bellay (49260 (Pays de la Loire)), Paroisse Saint-Pierre vers 1600. À environ vingt-sept ans, il s’est marié le mardi 13 juillet 1627 à Chinon (37500 (Centre)), Paroisse Sainte-Étienne avec Françoise Corbineau, née le jeudi 15 mars 1599 à Bourgueil (37140 (Centre)). Il eut de celle-ci Jeanne Trahan. À environ soixante-six ans, Guillaume s’est marié une seconde fois en 1666 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Madeleine Brun, née le mercredi 25 janvier 1645 à La Chaussée (Vienne Poitou), fille de Vincent, et de Renée Brault. Ils eurent Marie, Alexandre, Guillaume (1667-1755) et Jehan-Charles Trahan.
2168/2169 – Martin Dupuis, né à La Chaussée Loudun (Poitou) en 1612, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1671, à l’âge de cinquante-neuf ans. À cinquante-trois ans, il s’est marié en 1665 à La Chaussée Loudun (Poitou) avec Perrine Terriot, née en 1626 à La Chaussée Loudun (Poitou), décédée en 1671 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), à l’âge de quarante-cinq ans. Leur union dura six ans. Naquit de cette femme Michel Dupuis (1634-1700).
2170/2171 – François Gautreaux [61], né à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)) en 1613, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1692, à l’âge de soixante-dix-neuf ans. À environ vingt et un ans, il s’est marié vers 1634 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) avec Édmée Lejeune, née vers 1620 à Martaizé (86330 (Poitou-Charentes)), décédée en 1687 à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)), fille de Pierre (1595-1636), et de Mic Mac Indian (°1600). Leur alliance dura près de cinquante-trois ans. Il en eut Marie (1636-1732), Claude (†1733), Charles (1637-1714), Marguerite (†1727), René (†1737), Marie-Françoise (1647-1732), Marie-Louise et Jeanne Gauterot (1664-1754).
2172/2173 – Jean-Claude Landry [62], né à La Ventrouze (61190 (Basse-Normandie)) en 1593, marié avec Marie Sale, née en 1600 à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), décédée à ? (CANADA). Il en eut Antoinette (°1624) et René Landry.
2174/2175 – voir 2070
2176/2177 – Nicolas Hébert, né à Paris (75000 (Île-de-France)), Ile de France vers 1540, décédé dans la même localité en 1600. À environ quarante ans, il s’est marié après 1580 à Paris (Paris), Ile de France avec Marie Auvry, née vers 1540 à Paris (Paris), Ile de France. À environ vingt-quatre ans, Nicolas s’est marié une deuxième fois vers 1564 Ile de France avec Jacqueline Pajot, née à Paris (75000 (Île-de-France)), Ile de France, décédée à Paris (Paris), Ile de France le vendredi 15 juillet 1580, fille de Simon (†1563), et de Jeanne Guérineau (†1572) [63]. Leur alliance dura près de seize ans. Ils ont eu Jacques (†1670), Charlotte (°1564), Marie (†1633), Jacques (°~1568), Louis (1575-1627) et Marie Hébert (°1577). À environ cinquante ans, et après environ dix ans de veuvage, en troisièmes et dernières noces. Il s’est marié vers 1590 avec Renée Savoreau.
4292/4293 – Nicolas Trahan [64], né et décédé à Montreuil Bellay (Maine Et Loire), marié avec Renée Desloges, née à Montreuil Bellay (Maine Et Loire). Ils eurent Guillaume Trahan (°~1600).
4320/4321 – voir 2176
4342/4343 – Pierre Lejeune [65], né à Martaize (Vienne) en 1595, décédé à Port Royal (CANADA) (Acadie (Nouvelle-Écosse)) en 1636, à l’âge de quarante et un ans. À environ vingt-cinq ans, il s’est marié vers 1620 à Martaize avec Mic Mac Indian, née en 1600. Naquirent de celle-ci Édmée (~1620-1687) et Catherine Lejeune (1633-1672).
4354/4355 – Simon Pajot, dit Chandelier De Suif, décédé en 1563, marié avec Jeanne Guérineau, décédée en octobre 1572 à Paris (Paris), Ile de France. Il en a eu Jacqueline (†1580), Guillaume (<1601), Hughes, Issac (1545-1590), Jean (°1550) et Jeanne Pajot.
[1] La qualité première de pouvait être l’analyse. Le natif de la Vierge se caractérise en effet par un esprit subtil et analytique. Il observe tout avec réalisme et lucidité, afin de se prémunir contre les mauvais coups du sort. Pour un natif de la Vierge, la vie représente un danger permanent qui le pousse à développer un instinct infaillible. Il découvre toujours tout et sent immédiatement si une chose est fausse ou falsifiée. Il possède une grande expérience de la vie. Ses pensées ne sont pas tournées uniquement vers le présent mais également vers l’avenir. Du fait de sa grande acuité, avait souvent tendance à être sceptique, critique et pessimiste.
[2] Au baptême de Prosper fut témoin Hormeline Martel, ; Prosper Gaudet.
[3] Au baptême de Séraphin fut témoin Sophie Gaudet, ; Sifroy Hébert.
[4] Son nom figure dans un acte concernant Julie Arbour.
[5] Parrain et marraine: Pierre Doucet et Marie Gaudet.
[6] Son nom figure dans un acte concernant Odile Morin.
[7] Son nom figure dans les actes concernant Marie Gaudet, Olivine Lepage, William Arbour.
[8] Son nom figure dans un acte concernant Julie Gaudet.
[9] Décédé à 81 ans. Témoins à la sépulture: Louis et Jules, ses fils.
[10] Via Pierre Gaudet.
[11] Bonaventure Gaudet dit Bonan
Décédé à 74 ans.
[12] Marguerite a épousé en 1768 Etienne Pelletier.
[13] Déporté au Connecticut, avec sa famille, en 1755. il s’établit à
St-Jacques-de-l’Achigan, vers 1767.
[14] L’aîné.
[15] L’Aîné.
[16] Marie s’est alliée avec François Guérin, fils de Jérôme et de Marie Blanchard, qui lui a donné Marie Guérin.
[17] Toussaint Doucet dit Laverdure.
[18] Arrivé en Acadie vers 1671.
[19] Alexandre Hébert sieur de Lafond.
[20] Etablit à la Rivière-aux-Vieux-Habitants, Bassis des Mines.
[21] Encore mineur lors du décès de son père, ce dut être Michelle Aucoin, sa mère qui l’éleva.
[22] .
[23] Claude Robillard, jeune Normand, agriculteur en Nouvelle-France
lundi 1er octobre 2007, par Michèle Champagne
Des Français à peine sortis de leur bourg ou de leur campagne tentent laventure pour sinstaller en Nouvelle-France. Voici le parcours de Claude Robillard, âgé de 13 ans qui nhésite pas à quitter sa Normandie pour gagner lAcadie, puis la Nouvelle-France. Un coup de tête, une gageure, un engagement ? Les archives restent discrètes sur ses motivations. Quoi quil en soit, sa décision lui a porté chance car il est à lorigine des Robillard dAmérique.
Une arrivée en Acadie pour le moins surprenante
Claude Robillard né vers 1650 est natif de Rouen en Normandie. Il sembarque en juin 1663 sur le Jardin de Hollande, navire de 300 tonneaux emmenant à son bord, 279 passagers : des familles, des jeunes célibataires et des soldats. La premiáere escale sera Plaisance en Acadie, suivie de Québec en Nouvelle-France. Le contexte est favorable à ces départs. Le gouvernement de Versailles tente dattirer des Français vers ces nouveaux territoires en offrant des terres et de largent pour qui veut simplanter à lissue de sa période dengagement dans les troupes de la Marine ou dans les régiments, tel celui de Carignan-Salières.
A Plaisance, sur le quai, des dépouilles gisent çà et là avec une odeur doutre-tombe. Des assassinats, des batailles ? Que penser ? Le capitaine du navire Jean Guillon diffère le départ pour Québec. Aidé de soldats, il part à la recherche des mutins. Les malfrats sont transférés sur un radeau pour être pendus à la vue de tous.
Puis, le Jardin de Hollande reprend sa route en direction de Québec. Arrivé à bon port en juillet 1663, Claude sengage auprès du sieur Robert Giffard de Monceil [1], médecin à Beauport (situé près de Québec). Claude sinitie à lagriculture sur les terres du sieur Giffard. Cette seigneurie sétend de la rivière Saint-Charles jusquau Sault Montmorency.
Premiers contacts avec les Indiens
Le 14 septembre 1666, le régiment de Carignan-Salières recrute des volontaires pour livrer bataille contre une tribu dIroquois appelée les ± Agniers alliés aux Anglais. A 16 ans, Claude Robillard marche au pas des 400 soldats et des centaines de recrues. Le régiment conduit par le général Tracy se dirige vers Sorel (situé à environ 65 kilomètres au nord-est de Montréal). Après quelques heures de lutte, la victoire des Français saccompagne dune douce amertume : les soldats se livrent au pillage et brûlent le village des ± Agniers. Les soldats recoivent de largent ou des parcelles de terre pour sétablir en Nouvelle-France.
Puis, la vie reprend son cours. Claude Robillard sinstalle en 1669 à Champlain situé sur le bord du fleuve Saint-Laurent, à quelques kilomètres du Cap-de-la-Madeleine (près de Trois-Rivières). A 19 ans, il achète sa première terre auprès de Bernard Lacoste dit Lavigne à louest du fleuve : deux arpents de front sur quarante arpents de profondeur. Il emprunte auprès dun ami Marin Richard la somme de 120 livres pour cette acquisition.
Un an plus tard, le 8 août 1670 [2], portant bien ses 20 ans, il unit sa destinée à une fille du Roy Marie Binard. Le couple aura trois enfants : Marie-Jeanne, née le 4 décembre 1672, Claude, et Adrien, baptisé le 9 octobre 1679 [3]. Lafamille possède une maison, trois bêtes à cornes dont un bœuf de labour, deux vaches laitières et des porcelets.
Pour subvenir à ses besoins, Claude loue la terre dun de ses voisins, Pierre Dandonneau dit Lajeunesse. La même année, en 1672, Claude loue une seconde terre à Pierre Dandonneau. Il signe son nom sur lacte notarié Robilliar [4].
Son patrimoine sélève à 2 200 livres [5] :
Une maison avec une grange pour ranger le foin, une étable avec porcherie, un hangar et des instruments aratoires 1452 livres
Une terre cultivée et le bois debout (forêt) 506 livres
Les animaux, le foin et les réserves de nourriture 132 livres
Les créances 110 livres
Il se situe dans la moyenne au niveau patrimonial. Claude manque de bras pour cultiver la terre. En janvier 1676, il se dirige chez le notaire avec lune de ses connaissances, Nicolas Rivard du Cap de la Madeleine, commandant de la milice de Batiscan. Il signe un bail de location dune génisse pour une durée de cinq ans. Cette bête laidera à semer les labours au moyen dune charrue. Mais la génisse ne suffit pas à fournir à louvrage. Un an plus tard, il loue une paire debœufs au sieur Des Groseilliers. Le paiement sera effectué en nature : 10 minots de blé à remettre au propriétaire à Noël pendant cinq ans.
Propriétaire de deux terres
Tout ne se gagne pas aisément ! Lagriculteur Robillard doit emprunter 330 livres pour acheter des semences auprès du marchand général Jacques Babie. Enfin, la récolte étant bonne, il paie une partie de ses dettes quil avait contractées pour acheter sa première terre en 1669.
Cherchant toujours à améliorer son sort, en décembre 1677, Claude Robillard achète la terre de son voisin, Maximin Raynier pour une somme de 300 livres payable pendant six ans à raison de 50 livres par année. A 27 ans, il continue dinvestir : le voilà propriétaire de 160 arpents dont 4 situés de front sur le fleuve par 40 arpents de profondeur.
En plus de ses deux terres, Claude sengage en juin 1678 auprès du chirurgien Jean Jalot pour cinq jours. Sa force de travail lui sera utile pour labourer six arpents de terrain avec une paire de bœufs quil a par ailleurs loué. Il recevra la somme de 55 livres et un carton de tabac en guise de salaire.
Champlain sur le fleuve Saint-Laurent, Crédit Photo : P. Lanouette, 2006 Sa première épouse décède en 1680. Claude ne restera pas longtemps esseulé, à peine un an et demi. Il convole en secondes noces auprès de Marie Grondin âgée de vingt ans, une fille du Roy native de Normandie, veuve également dun précédent mariage avec Michel Morel. Du premier lit, Marie Grondin donna naissance à un fils Dominique Morel qui sera domestique au sein de la famille. Le mariage a lieu le 4 mars 1681 à Champlain.
Le couple Robillard Grondin donne jour à 5 enfants :
Louis, né le 15 mai 1682,
Nicolas, né le 1er août 1684,
Marie-Thérèse, baptisée à Montréal le 5 septembre 1686,
Joseph, baptisé à Montréal le 13 avril 1689,
Pierre, baptisé à Montréal le 28 septembre 1692.
Un second départ : Ville-Marie (Montréal)
A 35 ans, Claude décide de quitter Champlain et de tenter sa chance à Ville-Marie (Montréal). Il vend ses deux terres avec la maison, la grange et les bâtiments à Michel Poirier dit Langevin. Il se réserve la jouissance de la moitié dela grange jusquau printemps prochain et la maison pour y loger sa famille. Claude conserve également ses bestiaux pendant un certain temps. Prudent ce Robillard. Lacheteur paie la première terre en peaux de castor et en argent 500 livresà verser sur dix-huit mois. Quant à la deuxième terre, celle qui est située près de la maison de Noel Carpentier, lacheteur remettra à Jacques Babie le marchand la somme de 300 livres que Claude lui devait.
Son intention est de trouver du travail à Ville-Marie. A-t-il utilisé le réseau de relations du sieur Robert Giffard, le seigneur qui la hébergé lors de son arrivée en Nouvelle-France ? Nul ne sait. Il signe un contrat dengagement le 10 février 1685 avec les religieuses de lhôpital Saint-Joseph de Montréal (futur Hôtel Dieu) pour cinq ans et loue la ferme du domaine de lhôpital nommée ± Domaine des pauvres malades.
En avril 1685, munis de sacs et de baluchons, les Robillard disent au revoir à leurs voisins de Champlain et sembarquent sur des canots. Les 600 habitants de Ville-Marie logent dans de modestes maisons de bois. Léglise paroissiale et le séminaire des prêtres sulpiciens, seigneurs de lîle, dominent la ville à lextrémité est. Les activités commerciales se concentrent entre les rues Notre-Dame et Saint-Paul, sur la place du Marché, lieu déchanges privilégié entre Montrâealais et Amérindiens. À cette époque, la ville était délimitée au nord par une petite rivière. Une enceinte de pieux située sur le pourtour de cette rivière délimitait les quartiers habités par les Français et les Iroquois.
Claude travaille darrache-pied sur les terres de lhôpital : labourer les champs, sortir les animaux, nettoyer les bâtiments, 112 arpents forment le fief de Nazareth, mais seuls 16 arpents sont cultivables. Ce domaine concédé par Maisonneuve à Jeanne Mance en 1654 couvre des terres agricoles, des prairies, des forêts et des bâtiments pour les animaux. La propriété sétend par rapport à la configuration de Montréal aujourdhui :
au nord à la rue William,
à louest à la rue Université,
au sud à la rue de la Commune,
et à lest à la rue McGill.
Les religieuses sengagent à lui donner la moitié des récoltes pour une durée de cinq ans. En retour, Claude devra effectuer les travaux agricoles. Claude disposera pour son usage personnel du bois provenant dune terre de 200 arpents appartenant aux religieuses. Il pourra en vendre 10 cordes pour augmenter ses revenus. En revanche, Claude devra remettre chaque année aux religieuses 100 choux en pomme. Au moment des récoltes, les sœurs mettront à la disposition de Claude unjournalier pour une durée de six semaines, une aide pour faucher et 10 pots deau de vie ! Ce journalier sera nul autre que son beau-fils, Dominique Morel.
A lissue des cinq ans, Claude Robillard devra rendre intégralement les instruments et les animaux de la ferme en qualité et en nombre égaux de ce quils valaient lors de la signature du contrat.
La persévérance de Claude Robillard lui permettra dacheter un emplacement dans la ruelle de Chagouamigon, située aujourdhui dans le Vieux-Montréal. Pour quelle utilité ? Sans doute pour cultiver des terres.
Ruelle de Chagouamigon (Montréal) Crédit Photo : G. Champagne, 2007 Il laissera une trace dans la vie de Montréal : une rue porte son nom dans le Vieux-Montréal.
Rue Robillard à Montréal Crédit Photo : G. Champagne, 2007 Il revendra ce bien en 1698 pour acquérir une terre à Champlain à une dame nommée Margane devenue veuve.
A 48 ans, Claude Robillard sent la fatigue lui peser sur les épaules. Les soirs dhiver au coin du feu, les rives de Champlain où il a passé ses premières années lui semblent bien loin. Sa deuxième épouse décède le 31 octobre 1708 [6]. On ne peut vieillir seul encore moins lorsque lon a une parcelle à cultiver et des personnes à charge. Claude reprend donc la flèche de Cupidon à 59 ans. Il épouse Marie Françoise Guillin le 27 janvier 1709 à Ville-Marie. Marie Franðcoise est normande tout comme lui et fille du Roy. Elle est veuve dAndré Trajot. Le couple naura pas denfant. Claude Robillard quitte Ville-Marie et termine ses dernières années à Champlain. Il rend lâme le 24 mai 1719 à 69 ans. Marie Françoise le rejoint quelques mois plus tard.
Cimetière de Champlain, Crédit Photo : P. Lanouette, 2007 Claude Robillard na cessé de construire au cours de son existence : labourer, acheter des terres, prospecter. Aventureux ou avant-gardiste ? Il tente sa chance en quittant son bourg de Normandie pour la Nouvelle-France ayant quitté à peine son enfance. Installé à Champlain, village au bord du fleuve Saint-Laurent, il vend ses terres et tente sa chance en ville avec femme et enfants, en ayant pris au préalable ses précautions. Sans le connaître davantage que par ce récit, que pouvons-nous retenir de ce personnage ? Au vu de son parcours, il a fait preuve de ténacité, daudace et de volonté. Tel fut Claude Robillard, pionnier sur ces quelques arpents de neige.
Sources :
Jean Denis Robillard, ± Un défricheur au cœur du Québec : Claude Robillard, Editions JDR, 2001. Cote Bibliothèque Nationale du Québec à Montréal : 929. 20971 R654.
Jean Denis Robillard, ± Ladolescence dun pionnier en Nouvelle-France, Claude Robillard, Editions JDR, 1999. Cote Bibliothèque Nationale du Québec à Montréal : 929. 20971 R654.
Notes
[1] Robert Giffard, originaire du Perche, nest pas inconnu des capitaines de la Marine ni de Versailles. Il exerça la profession de chirurgien auprès des troupes avant de se fixer au Canada en 1621. La Compagnie des Cent-Associés lui concáede en 1634 un vaste territoire à peupler nommé la seigneurie de Beauport.
[2] Prosper Cloutier, ± Histoire de la paroisse de Champlain, Trois-Rivières, Québec, Imprimerie Le Bien Public, Tome. 2. http://www.ourroots.ca/f/toc.aspx ?id=1880
[3] Prosper Cloutier, ± Histoire de la paroisse de Champlain, Trois-Rivières, Québec, Imprimerie Le Bien Public, Tome 1, Chapitre 1 http://www.ourroots.ca/f/search.aspx ?field=Creator&key=P.+Cloutier
[4] Prosper Cloutier, ± Histoire de la paroisse de Champlain, Tome 1, op.cit
[5] Louise Dechene, ± Habitants et marchands de Montréal au XVIIè siècle, Paris, 1974, p. 335, cité dans Jean-Denis Robillard, op. cit.
[6] Hubert Charbonneau et Jacques Légaré, ± Répertoire des actes de baptême, mariage, sépulture et des recensements du Québec ancien, Montréal, Presses de lUniversité de Montréal, vol. 13, p. 358.
[24] Marie s’est alliée avec Michel Morel, qui lui a donné Dominique Morel.
[25] Marie s’est alliée avec André Trajot.
[26] Pierre Doucet dit Laverdure.
[27] Roger Quessy et Caissie.
[28] Marie s’est alliée avec Pierre le Jeune Gaudet, fils de Denis et de Martine Gauthier, qui lui a donné Jeanne, Bernard et Denis le Jeune Gaudet.
[29] Originaire de Beauvoir-sur-Mer, Vendée.
[30] Encore mineur lors du décès de son père, ce dut être Marie Gaudet, sa mère qui l’éleva.
[31] Andrée a épousé en 1668 Germain Terriot, fils de Jehan et de Perrine Rau Brault, qui lui a donné Germain et Pierre Terriot.
[32] Marie Juneau, sa mère ne survécut pas à sa naissance.
[33] Geneviève a épousé vers 1629 Jehan Gaudet, laboureur En 1671, qui lui a donné Jean et Marie Gaudet.
[34] Conseiller et lieutenant-général en Acadie, juge à Port-Royal, arrivé vers
1642.
[35] Originaire du Poitou.
[36] 54 ans au recensement de 1686.
Décédé après le recensement de 1714.
[37] Originaire de Martaizé, département de la Vienne, France, arrivé en Acadie
vers 1636.
[38] Geneviève s’est alliée avec Antoine Hébert, tonnelier, fils de Jacques et de Marie Juneau, qui lui a donné Jehan et Catherine Hébert.
[39] Françoise a épousé vers 1644 Jean Mercier, qui lui a donné Marie Mercier.
[40] Dit Laverdure, major du gouverneur d’Aulnay, originaire de Couperans-en-Brie,
près de Paris.
[41] Perrine s’est alliée avec René Landry, fils de Jean-Claude et de Marie Sale, qui lui a donné Marie, Madeleine, Marie-Henriette, Claude et Pierre Landry.
[42] Date historique (5 février 1626 : paix de La Rochelle).
[43] Jeanne s’est alliée avec Antoine Gougeon.
[44] Jacques dit Jacob, chirurguen.
[45] Et Belliveau.
[46] Arrivé en Acadie vers 1640.
[47] Il avait perdu son père la même année.
[48] Marie s’est alliée avec Dominique Garault.
[49] Originaire de La Chaussée, arrivé en Acadie vers 1648.
[50] Originaire de La Chaussée, région de Loudun, département de la Vienne, Arrivé
en Acadie vers 1648.
[51] Marie a épousé en 1661 Claude Terriot, fils de Jehan et de Perrine Rau Brault, qui lui a donné Anne, Jeanne, Germain, Madeleine, Marguerite et Marie Terriot.
[52] L’aîné.
[53] Perrine s’est alliée avec Simon Pelletret, qui lui a donné Henriette et Jeanne Pelletret.
[54] De La-Haye-Descartes, paroisse de Belestre, Touraine.
[55] Originaire du Loudunois. Poitou. Arrivé en Acadie vers 1637.
Ce couple s’embarque pour l’Acadie vers les années 1637.
[56] Décédé en Nouvelle-Angleterre au cours de l’hiver 1678-1677 (selon C. -J.
d’Entremont).
[57] Originaire de Normandie, arrivé en Acadie vers 1651, majot général de Charles
de Latour, seigneur de Poboncoup, depuis 1653.
[58] Originaire de La Chaussée, Loudunois, Poitou.
[59] Venu en Acadie et retourné en France après la chute de Port-Royal.
Originaire de Couperans-en-Brie, prèsde Paris.
[60] Syndic des habitants.
[61] Originaire de La Chaussée, région de Loudun, département de la Vienne ou
originaire de Touraine. Il est arrivé en Acadie vers 1636, il était veuf et
le nom de son épouse est inconnu.
[62] De La Ventrouze, près de Mortagne-au-Perche (Orne).
[63] Jacqueline s’est alliée avec Inc Inconnu et s’est alliée avec Louis De Cueilly.
[64] De Montreuil-Belley ou St-Germain de Bourgueil.
[65] Lejeune dit Briard.
