Famille Berthiaume Pierre (1962) Ascendance 10 générations

 1 – Pierre Berthiaume, fils de Jean-Paul Berthiaume (°1937), et de Louise Paquet (1931-2004), né à Shawville (CANADA) (Outaouais (Québec)) le mercredi 31 janvier 1962, baptisé le dimanche 11 février 1962 au même lieu. À vingt-cinq ans, il s’est marié le samedi 4 juillet 1987 [1] à Saint-Esprit (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Esprit de Montcalm avec Liliane Ayotte, née le jeudi 11 juillet 1963. Il eut de celle-ci Marie-Claude (°1987) et François Berthiaume (°1989) [2].


HISTOIRE & GÉNÉALOGIE DE LA FAMILLE

ASCENDANCE

BERTHIAUME Pierre (1962-)  et de ses alliances

 Des origines à nos jours.  Le 28 novembre 2011

 La famille BERTHIAUME est originaire de Shawville, Québec, Canada où naquit, en l’an 1937, Jean-Paul Berthiaume, le père de Pierre. Son ascendance s’étend sur quatorze générations dans laquelle on dénombre 62 personnages répartis en 32 hommes et 31 femmes. Aucun enfant n’est né avant le mariage et pas un n’a été conçu avant les noces de ses parents. Les jours les plus propices aux naissances étaient le samedi, le mercredi et le lundi. Les baptêmes étaient administrés le plus souvent le dimanche, le mercredi et le lundi. Les mariages quant à eux étaient célébrés les mardi, lundi et mercredi, et les décès les plus nombreux survenaient le mercredi, le vendredi et le samedi. Les mois les plus propices aux naissances étaient septembre, novembre et janvier. Les baptêmes étaient administrés le plus souvent en septembre, en octobre et en novembre, et les décès les plus nombreux survenaient en mai, en juin et en septembre.

 Génération I

1 – Pierre Berthiaume, fils de Jean-Paul Berthiaume (°1937), et de Louise Paquet (1931-2004), né à Shawville (CANADA) (Outaouais (Québec)) le mercredi 31 janvier 1962, baptisé le dimanche 11 février 1962 au même lieu. À vingt-cinq ans, il s’est marié le samedi 4 juillet 1987 [1] à Saint-Esprit (CANADA) (Lanaudière (Québec)), Église de Saint-Esprit de Montcalm avec Liliane Ayotte, née le jeudi 11 juillet 1963. Il eut de celle-ci Marie-Claude (°1987) et François Berthiaume (°1989) [2].

Génération II

 2/3 – Jean-Paul Berthiaume, né le samedi 16 janvier 1937, marié avec Louise Paquet, née le samedi 9 mai 1931, décédée le mardi 23 mars 2004, à l’âge de soixante-treize ans, fille de Sarto Paquet (1913-1953), et d’Agnes Côté (1912-2006). Ils eurent Pierre Berthiaume (°1962).

 Génération III

 6/7 – Sarto Paquet, fils de Philias Paquet (1879-1944), marchand de glace, et de Marie Côté (1877-1964), maîtresse d’école, né le dimanche 27 avril 1913, décédé le jeudi 28 mai 1953, à l’âge de quarante ans, marié avec Agnes Côté, née le samedi 14 septembre 1912, décédée le vendredi 16 juin 2006, à l’âge de quatre-vingt-quatorze ans, fille de Victor Côté (†1938), et de Victoire Riffou (†1960). Ils ont eu Louise Paquet (1931-2004).

 Génération IV

12/13 – Philias Paquet, marchand de glace, fils de Philias Paquet (°1856), batelier, et d’Elmina Gendron (°~1856), né à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)) le mardi 16 septembre 1879, décédé le mercredi 10 mai 1944et inhumé en mai 1944 dans la même localité, à l’âge de soixante-cinq ans. À vingt ans, il s’est marié le mardi 12 septembre 1899 à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Romuald avec Marie Côté, maîtresse d’école, née le lundi 24 septembre 1877 à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), y décédée le samedi 6 juin 1964, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Son décès survint après quarante-cinq ans de mariage. Il en eut Marcel (1908-1981) et Sarto Paquet (1913-1953).

14/15 – Victor Côté, décédé en mai 1938, marié avec Victoire Riffou, décédée en 1960. Il en a eu Agnes Côté (1912-2006).

Génération V

 24/25 – Philias Paquet, batelier, fils de François-Xavier Paquet (°~1827), et de Leocardie Fortier (°~1828), né à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)) le mardi 18 mars 1856. À vingt-deux ans, il s’est marié le mardi 19 novembre 1878 à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Romuald avec Elmina Gendron, née vers 1856 L’Islet (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Paroisse Sainte-Louise, fille de Joseph Gendron, et d’Hélène Lebel. Ils ont eu Philias Paquet (1879-1944). À soixante-quatre ans, Philias s’est marié une seconde fois le mercredi 18 février 1920 à Saint-Romuald (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Romuald avec Emma Roberge.

 Génération VI

 48/49 – François-Xavier Paquet, fils d’Augustin Paquet (°1787), et de Marguerite Goulet (°1788), né vers 1827. À environ vingt-cinq ans, il s’est marié le mardi 10 février 1852 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Nicolas de Lévis avec Leocardie Fortier, née vers 1828, fille de François-Xavier Fortier, et de Marie Barron. De celle-ci naquit Philias Paquet (°1856).

50/51 – Joseph Gendron, marié avec Hélène Lebel. De là naquit Elmina Gendron (°~1856).

 Génération VII

 96/97 – Augustin Paquet, fils de Jean-François Paquet (1745-1829), et d’Angelique Demers (1747-1788), né à Lévis (CANADA) (Saint-Nicolas (Québec)) le mercredi 14 mars 1787. À vingt ans, il s’est marié le mardi 1er septembre 1807 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Nicolas de Lévis avec Marguerite Goulet, née le samedi 19 avril 1788 à Saint-Gervais (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), fille de Louis-Michel Goulet, et de Marie-Anne Asselin. Ils ont eu François-Xavier Paquet (°~1827).

98/99 – François-Xavier Fortier, marié avec Marie Barron. Il en a eu Leocardie Fortier (°~1828).

 Génération VIII

 192/193 – Jean-François Paquet, fils de Jean-François Paquet (1712-1792), et d’Angelique Pépin-Lachance (1716-1792), né à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) le samedi 9 janvier 1745, décédé à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Paroisse de Saint-Nicolas le lundi 5 janvier 1829, inhumé le surlendemain au même lieu, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le lundi 1er février 1768 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Nicolas de Lévis avec Angelique Demers, née le lundi 6 novembre 1747 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Paroisse de Saint-Nicolas, y décédée le vendredi 12 septembre 1788, à l’âge de quarante et un ans, fille de Charles Demers (1714-1756), et de Françoise Huard (1717-1765). Leur union dura vingt ans. De celle-ci naquit Augustin Paquet (°1787).

194/195 – Louis-Michel Goulet, marié avec Marie-Anne Asselin. Il eut de celle-ci Marguerite Goulet (°1788).

 Génération IX

 384/385 – Jean-François Paquet, fils de Philippe Paquet (°1673), et de Marie Fontaine (1683-1754), né à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) le mercredi 13 avril 1712, décédé le lundi 25 juin 1792et inhumée le lendemain dans la même localité, à l’âge de quatre-vingts ans. À vingt-cinq ans, il s’est marié le mercredi 20 février 1737 à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), Église de Saint-Jean de l’Île d’Orléans avec Angelique Pépin-Lachance, née le mercredi 11 mars 1716 à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), y décédée le mercredi 30 mai 1792, à l’âge de soixante-seize ans, fille de Gervais Pépin (°1676), et de Marie Madeleine Fortier (1678-1756). Leur union dura cinquante-cinq ans. Il eut de sa conjointe Jean-François Paquet (1745-1829).

386/387 – Charles Demers, fils de Jean-Nicolas Demers (1677-1740), et d’Anne Rochon, né à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Paroisse Saint-Nicolas le samedi 8 septembre 1714, jour de la fête de la Nativité de la Sainte-Vierge, décédé le mercredi 22 septembre 1756et inhumée le surlendemain dans la même localité, à l’âge de quarante-deux ans. À vingt-six ans, il s’est marié le mardi 16 février 1740 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), Église de Saint-Nicolas de Lévis avec Françoise Huard, née le vendredi 3 décembre 1717 à Lauzon (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), décédée le jeudi 28 mars 1765 à Lévis (CANADA) (Chaudière-Appalaches (Québec)), à l’âge de quarante-huit ans [3]. Son décès survint après seize ans de mariage. Naquit de cette femme Angelique Demers (1747-1788).

 Génération X

 768/769 – Philippe Paquet, fils de Philippe Paquet (°~1639), maçon, et de Françoise Gobeil (1656-1716), né à Sainte-Famille (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) le lundi 22 mai 1673. À vingt-sept ans, il s’est marié le mercredi 11 août 1700 à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), Église de Saint-Jean de l’Île d’Orléans avec Marie Fontaine, née le mercredi 10 novembre 1683, veille de la Saint-Martin d’hiver à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), décédée le mercredi 11 décembre 1754 à Saint-François-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), à l’âge de soixante et onze ans, fille d’Étienne Fontaine (1659-1739), maître de barque en 1708, et de Marie Conille (1665-1737). Ils ont eu Jean-François Paquet (1712-1792).

770/771 – Gervais Pépin, dit Lachance, fils d’Antoine Pépin (1636-1703), et de Marie dit la Canadienne Testu (~1630-1701), né à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)) le mercredi 29 avril 1676, décédé à Saint-François-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)). À vingt-deux ans, il s’est marié le mardi 14 janvier 1698 à Saint-Laurent-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) avec Marie Madeleine Fortier, née le vendredi 11 novembre 1678, jour de la Saint-Martin d’hiver à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)), décédée le samedi 31 juillet 1756 à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), à l’âge de soixante-dix-huit ans. Il eut pour enfant Angelique Pépin-Lachance (1716-1792).

772/773 – Jean-Nicolas Demers, né à Sillery (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC le mardi 18 mai 1677, décédé à Lévis (CANADA) (Saint-Nicolas (Québec)), QC le vendredi 16 décembre 1740, à l’âge de soixante-trois ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le lundi 3 mai 1700 à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)), QC avec Anne Rochon, fille de Gervais Rocheron (°1634), et de Madeleine Guyon (°1657). Ils ont eu Michel (1701-1749), Françoise (°1710) et Charles Demers (1714-1756).

 Génération XI

 1536/1537 – Philippe Paquet, dit Pasquier, maçon, né à Saint-Martin-la-Rivière (86300 (Poitou-Charentes)) vers 1639 [4]. À environ trente ans, il s’est marié le mercredi 12 juin 1669 à Sainte-Famille (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), Église de Sainte-Famille-de-L’Île-d’Orleans avec Françoise Gobeil, née le dimanche 16 janvier 1656 à Saint-Liguaire (79000 (Poitou-Charentes)), décédée le lundi 24 février 1716 à Sainte-Famille (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), à l’âge de soixante ans, fille de Jean Gobeil (1627-1702), métayer, et de Jeanne Guiet (1632->1689). De là naquit Philippe Paquet (°1673).

1538/1539 – Étienne Fontaine, maître de barque en 1708, né L’Île-d’Yeu (85350 (Pays de la Loire)) le lundi 24 février 1659 [5], décédé à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) le vendredi 22 mai 1739, à l’âge de quatre-vingts ans. À vingt-quatre ans, il s’est marié le lundi 8 février 1683 à Saint-Laurent-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), Église de Saint-Laurent -de-L’Île-d’Orleans avec Marie Conille, née le dimanche 27 septembre 1665 à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)), Paroisse Saint-Nicolas, décédée le samedi 29 juin 1737 à Saint-Jean-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), à l’âge de soixante-douze ans. Leur union dura cinquante-quatre ans. Naquit de cette femme Marie Fontaine (1683-1754).

1540/1541 – Antoine Pépin, dit Lachance [6], fils d’André Pépin (1605-1661), et de Jeanne Chevalier (°1614), né à Notre-Dame du Havre (Normandie) le samedi 4 octobre 1636, décédé à Saint-François-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)) le mardi 23 janvier 1703, à l’âge de soixante-sept ans. À vingt-trois ans, il s’est marié le lundi 24 novembre 1659 à Québec (CANADA) (Église Notre-Dame Des Anges (Québec)) avec Marie dit la Canadienne Testu, née vers 1630 à Salle-de-Villefagnan en Angoumois, décédée le dimanche 11 septembre 1701 à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)), fille de Jean Testu (1610-1653), et de Louise Talonneau (1610-1653). Leur union dura quarante-deux ans. Ils ont eu Ignace (1660-1716), Isabelle (1662-1738), Jean (1664-~1735), Antoine (1666-~1676), Jacques (1667-1691), Clement, Marie (1670-1754), Gabriel (°1672), Gervais (°1676), Joseph (1679-1721), Paul (1679-1749) et Genevieve Pépin (1682-1754).

1546/1547 – Gervais Rocheron [7], fils de Julien Rocheron (†1650), et de Martine Lemoyne (~1610-1650), né et baptisé le mercredi 1er novembre 1634, jour de la Toussaint à St-Cosme-en-Vairais (Sarthe), Pays de la Loire [8]. À trente-sept ans, il s’est marié le lundi 26 octobre 1671 à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)), QC avec Madeleine Guyon, née en 1657, fille de Claude Guyon (1629-1694), et de Catherine Colin (1638-1688). Il en a eu Catherine, Anne, Madeleine (1676-1739), Thérèse (°1685), Gervais (°1688), Elisabeth (°1690) et Jacques Rocheron (°1692).

 Génération XII

 3074/3075 – Jean Gobeil, métayer, né et baptisé le jeudi 14 octobre 1627 à Saint-Liguaire (79000 (Poitou-Charentes)), Église de Sainte-Madeleine de Saint-Liguaire, décédé à Québec (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), Hôpital de Hôtel-Dieu de Québec le mercredi 28 juin 1702, à l’âge de soixante-quinze ans. À vingt-sept ans, il s’est marié le mardi 14 avril 1654 à Saint-Liguaire (79000 (Poitou-Charentes)), Église de Sainte-Madeleine de Saint-Liguaire avec Jeanne Guiet, née le lundi 15 novembre 1632 à Échiré (79410 (Poitou-Charentes)), décédée après le mercredi 27 avril 1689 à Saint-Laurent-de-L’Île-d’Orléans (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), fille de Pierre Guiet, et de Gabrielle Roquier. Leur union dura trente-cinq ans, au moins. Ils ont eu Marie Jr (°1655), Françoise (1656-1716), Marie (1659-1736), Marguerite et Jeanne Angélique Gobeil (°~1663).

3080/3081 – André Pépin, né à Bourville (76740 (Haute-Normandie)) en 1605, décédé à Angoulême (16000 (Poitou-Charentes)) en 1661, à l’âge de cinquante-six ans. À trente ans, il s’est marié le jeudi 12 juillet 1635 à Bourville (76740 (Haute-Normandie)) avec Jeanne Chevalier, née en 1614 à Bourville (76740 (Haute-Normandie)), où elle décéda. Ils ont eu Antoine (1636-1703), François (1638-1662), Marie (°1640), Louis (°1643) et Bonaventure Pépin (°1645).

3082/3083 – Jean Testu, né à Villefagnan (16240 (Poitou-Charentes)) en 1610, décédé à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)) en 1653, à l’âge de quarante-trois ans. À vingt-deux ans, il s’est marié en 1632 à Salles-de-Villefagnan (16700 (Poitou-Charentes)) avec Louise Talonneau, née en 1610 à Juille (Angouleme), décédée le lundi 17 novembre 1653 à La Rochelle (17000 (Poitou-Charentes)), à l’âge de quarante-trois ans. Leur union dura vingt et un ans. De celle-ci naquit Marie dit la Canadienne Testu (~1630-1701).

 

3092/3093 – Julien Rocheron, né à St-Cosme-en-Vairais (Sarthe), Pays de la Loire. C’est là qu’il décéda en août 1650, et qu’il fut inhumé le mercredi 3 août 1650 [9], marié vers 1630 à St-Cosme-en-Vairais (Sarthe), Pays de la Loire avec Martine Lemoyne, née vers 1610 à St-Cosme-en-Vairais (Sarthe), Pays de la Loire, y décédée en août 1650. Leur alliance dura près de vingt ans. Il en a eu Simon (°1633), Gervais (°1634) et Marie Rocheron (°1639).

 

3094/3095 – Claude Guyon, dit DION [10], fils de Jean Guyon (1592-1663), sieur, et de Mathurine Robin (~1593-1662), né à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie en 1629, baptisé le dimanche 22 avril 1629 au même endroit [11], décédé à Québec (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC en février 1694, inhumé le mardi 23 février 1694 au même endroit, à l’âge de soixante-cinq ans [12]. À vingt-six ans, il s’est marié le dimanche 7 février 1655 à Québec (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC avec Catherine Colin, née en 1638, décédée le samedi 10 janvier 1688, à l’âge de cinquante ans. Leur union dura trente-trois ans. Il en eut Françoise, Jean (1656-1732), Madeleine (°1657), Louise (1660-1727), Catherine (1664-1718), Claude (°1664), Marie-Renée (1670-1703) et Gervais Guyon (°1676). À cinquante-neuf ans, et après environ un an de veuvage, une seconde fois, marié le mercredi 1er décembre 1688 à Sainte-Famille (CANADA) (Île D’Orléans (Québec)), QC avec Marguerite Binaudière.

 

Génération XIII

 

6150/6151 – Pierre Guiet, marié avec Gabrielle Roquier. De celle-ci naquit Jeanne Guiet (1632->1689).

 

6188/6189 – Jean Guyon, dit Du Buisson [13], sieur, fils de Jacques Guyon (1562-1623), et de Marie Huet (1578-1626), né à Tourouvre (61190 (Basse-Normandie)), Basse Normandie le vendredi 15 septembre 1592, baptisé le lundi 18 septembre 1592 au même lieu [14], décédé à Beauport (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC le mercredi 30 mai 1663, inhumé à Québec (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC le dimanche 3 juin 1663, à l’âge de soixante et onze ans [15]. À vingt-trois ans, il s’est marié le mardi 2 juin 1615 à Tourouvre (61190 (Basse-Normandie)), Basse Normandie [16] [17] avec Mathurine Robin, née vers 1593 à Tourouvre (61190 (Basse-Normandie)), Basse Normandie, décédée le dimanche 16 avril 1662 à Beauport (CANADA) (Capitale-Nationale (Québec)), QC, fille d’Eustache Robin (°~1567), et de Madeleine Avrard (°~1566). Leur union dura quarante-sept ans. Il eut de sa conjointe Barbe (1617-1700), Jean (1619-1694), Andrée (°1620), Simon (1621-1682), Marie (1624-1696), Claude (1629-1694), Denis (1631-1685), Michel (°1634), François (1635-1718), Noël (1638-1638) et Françoise Guyon (°1639).

 

Génération XIV

 

12376/12377 – Jacques Guyon [18], fils de Mathurin Guyon (°~1528), né à Tourouvre (61190 (Basse-Normandie)), Basse Normandie le dimanche 1er février 1562 [19], décédé à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie le vendredi 29 septembre 1623, jour de la Saint-Michel, à l’âge de soixante et un ans. À vingt et un ans, il s’est marié le lundi 15 avril 1583 à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie avec Marie Huet, née le lundi 6 janvier 1578 à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), y décédée le jeudi 26 février 1626, à l’âge de quarante-huit ans, fille de Guillaume Huet (°1542), et de Madeleine Agnez Avrard (1546-1642). Son décès survint après quarante ans de mariage. Ils ont eu Jean Guyon (1592-1663).

 

12378/12379 – Eustache Robin [20], fils de Boule Robin, et de Madeleine Mathurine, né à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie vers 1567, y décédé. À environ vingt-trois ans, il s’est marié en 1590 à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie avec Madeleine Avrard, née vers 1566 à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie, où elle décéda. Il eut de sa conjointe Mathurine Robin (~1593-1662).

 

Génération XV

 

24752/24753 – Mathurin Guyon [21], né à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie vers 1528, père de Jacques Guyon (1562-1623).

 

24754/24755 – Guillaume Huet, né à Caen (14000 (Basse-Normandie)) en 1542, décédé à ? (CANADA), marié avec Madeleine Agnez Avrard, née en 1546 à Caen (14000 (Basse-Normandie)), décédée en 1642 à ? (CANADA), à l’âge de quatre-vingt-seize ans. Ils ont eu Marie Huet (1578-1626).

 

24756/24757 – Boule Robin, né et décédé à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie, marié avec Madeleine Mathurine, née à Mortagne-au-Perche (61400 (Basse-Normandie)), Basse Normandie. Il en a eu Eustache Robin (°~1567).

 

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[1] Date historique (4 juillet 1987 : perpétuité pour Klaus Barbie).

[2] Le savoir et la connaissance du Verseau, signe de Pierre s’explique par sa grande intelligence. Le Verseau est en effet un être raisonné et réfléchi qui croit en la force de la nature. Il a souvent d’étranges pressentiments en ce qui concerne l’avenir et son imagination est extrêmement active. C’est un solitaire par excellence. Même lorsqu’il se trouve parmi ses amis, il a toujours l’impression d’être seul et un peu isolé. Le Verseau est un être généreux et serviable qui a un sens de la justice très prononcé. Pierre était sincère et fidèle mais aimait avant tout sa liberté. Sa tolérance faisait qu’il attendait souvent des autres qu’ils lui retournent cette tolérance.

[3] Françoise a épousé en 1763 François Gagnon.

[4] Paquet

Nom de famille très répandu, rencontré notamment dans le Nord-Pas-de-Calais et la région lyonnaise. Plutôt qu’à un porteur de fardeaux ou de fagots, on pensera à un diminutif de Pâque, nom de baptême féminin ou masculin fréquent au moyen âge. Il en est de même pour la variante ou le matronyme Paquette (25, 88).

[5] L’Île-d’Yeu est une commune française, située dans le département de la Vendée et la région Pays de la Loire.

 

Cette île est la seule île du Poitou historique avec l’île de Noirmoutier.

 

La commune se situe dans l’île du même nom : l’île d’Yeu (contrairement au nom de l’île elle-même, le « L’ » et le « – » font partie intégrante du nom de la commune). L’île constitue également le canton de l’Île-d’Yeu. Ses habitantssont les Îslais (et non Îliens) ou les Ogiens1.

 

Les principales localités de la commune sont : Port-Joinville (anciennement Port-Breton), Saint-Sauveur (anciennement « le bourg ») et La Meule.

[6] Arrivé à Quebec en 1655.

[7] BAPTÊME-CHRISTENING: St-Cosme-de-Vair

 

BIOGRAPHIE-BIOGRAPHY: Maître maçon.

[8] Fichier origine Marcel Fournier, <a href=»http://www.fichierorigine.com/»>Site Internet</a>.

[9]  id.

[10] BAPTÊME-CHRISTENING: St-Jean

 

RECENSEMENT-CENSUS(1666): <br><b>Endroit / <i>Place</i>:</b> L’Île-d’Orléans,QC,CAN<br><b>Référence / <i>Reference:</b> Alberta Family Histories Society</i><br><a href=»http://www. afhs.ab.ca/data/census/1666/isle_dorleans.html»>Voir la page / <i>See the page</i></a> / <b>Note:</b> <B>Claude guyon – 35 habittant</B>; Catherine Collin – 28 sa femme; Jean guyon – 10 fils; Marie Magdelaine guyon – 9 fille; Louise guyon – 8 fille; Claude guyon – 2 fils; Catherine guyon – 1 fille et Jean Robert – 19 domestique Engaigé.

[11] Fichier origine Marcel Fournier, <a href=»http://www.fichierorigine.com/»>Site Internet</a>.

[12] Dictionnaire généalogique des familles canadiennes depuis la fondationdela colonie jusqu’à no Tanguay, Cyprien, <a href=»http://catalogue.bnquebec.ca:4400/cgi-bin/bestn?id=%255FZjow%252F%25E2%257Dt%252DJQNFwwdX=&act=8&auto=0&nli=3&npro=3&fpro=10&t0=dictionnaire+genealogique&i0=0&s0=5&l0=0&t1=tanguay&i1=1&s1=5&l1=0&t2=&i2=5&s2=5&scc=1&v1=0&sc=4&v2=0&v3=0&v4=0&sy=&ey=&scr=1&x=30&y=7″>Disponibe en ligne / <i>Available online</i></a>.

[13] BIOGRAPHIE-BIOGRAPHY: Maçon de profession, il a reçu du seigneur Giffard le fief du Buisson.

 

BAPTÊME-CHRISTENING: St-Aubin

 

IMMIGRATION: <br><b>Endroit arrivée / <i>Arrival place</i>:</b> Québec,Capitale-Nationale,QC,CAN<br>Date: 8 août 1634<br><b>Réf. / <i>Ref.:</b> Fichier origine</i> (Copyright 1998-2006 <a href=»http://federationgenealogie.qc.ca/»>Fédération québécoise des sociétés de généalogie</a>)<br><a href=»http://www.fichierorigine.com/»>Voir le site / <i>Go the the site</i></a> / <b>Note:</b> GUYON / BUISSON, Jean  (fiche 241993) – Son ancètre direct Jean portait alors le nomde «Guyon». Il était maître-maçon, sa carrière s’est déroulée à Mortagne jusqu’en 1634, année de son départ pour la Nouvelle-France.

 

18 septembre 1592! Alors que Henri IV tente de conquérir son Royaume, la paroisse de Tourouvre dans le Perche vit un bien modeste événement. Sur les registres paroissiaux, le curé rédige en latin l’acte de baptème d’un nouveau paroissien:

«Johannes filius Jacobi Guyon er Maria eus uxoris..». Le père est un notable, la mère s’appelle Marie Huet.

On ignore de quoi fut faite la jeunesse du nouveau-né mais l’on retrouve sa trace sur un acte du 18 mai 1614 où il prête une somme d’argent à un laboureur d’Autheuil.

On le retrouve un an plus tard à Mortagne. Le curé de la paroisse Saint-Jean note sur son registre: «Le 12 juin 1615, Jehan Guyon, de la paroisse de Tourouvre, et Mathurine Robin, de cette paroisse, ont été épousés.»

 

A 42 ans, dix jours après la naissance de son dernier enfant, Jean Guyon va céder aux propositions de Robert Giffard, médecin, chantre de l’émigration vers la Nouvelle-France et décide de tout quitter pour faire colonie au pays de la Nouvelle-France.

En mars 1634, Jean et les siens, à l’exception de sa fille Barbe et de son gendre qui rejoindront le reste de la famille à Beauport en 1652, quittent Mortagne. Embarqués à Dieppe, les Guyon parviendront après deux mois de traversée en juin 1634 à l’embouchure du fleuve Saint-Laurent.

 

Au fil des siècles, leurs descendants ont donné naissance à des générations de Guyon, devenus Guion ou Dion. Elles se sont installées au Québec, au Canada et aux Etats-Unis. Céline Dion est issue de la branche fondée par Jean, le premier fils du maître-maçon.

 

 

 

source: d’après un article de Michel Ganivet publié dans l’hebdomadaire Le Perche daté du 1er janvier 1998.

[14] Fichier origine Marcel Fournier, <a href=»http://www.fichierorigine.com/»>Site Internet</a>.

[15] Dictionnaire généalogique des familles canadiennes depuis la fondationdela colonie jusqu’à no Tanguay, Cyprien, <a href=»http://catalogue.bnquebec.ca:4400/cgi-bin/bestn?id=%255FZjow%252F%25E2%257Dt%252DJQNFwwdX=&act=8&auto=0&nli=3&npro=3&fpro=10&t0=dictionnaire+genealogique&i0=0&s0=5&l0=0&t1=tanguay&i1=1&s1=5&l1=0&t2=&i2=5&s2=5&scc=1&v1=0&sc=4&v2=0&v3=0&v4=0&sy=&ey=&scr=1&x=30&y=7″>Disponibe en ligne / <i>Available online</i></a>.

[16] Fichier origine Marcel Fournier, <a href=»http://www.fichierorigine.com/»>Site Internet</a>.

[17] St-Jean.

[18] Jean Guyon (1592 Tourouvre – 1663 Beauport)

Parenté avec Céline Dion  Parenté avec Madonna  Parenté avec Camilla, duchesse de Cornouailles  Parenté avec Stéphane Dion

 

 

18 septembre 1592 ! Alors que Henri IV tente de conquérir son Royaume, la paroisse Saint-Aubin de Tourouvre dans le Perche vit un bien modeste événement. Sur les registres paroissiaux, le curé rédige en latin l’acte de baptème d’un nouveau paroissien: «Johannes filius Jacobi Guyon er Maria eus uxoris..». Le père Jacques est un notable et la mère s’appelle Marie Huet. On ignore de quoi fut faite la jeunesse du nouveau-né mais l’on retrouve sa trace sur un acte du 18 mai1614 où il prête une somme d’argent à un laboureur d’Autheuil. Un an plus tard, le 2 juin 1615, il épousera en la paroisse Saint-Jean de Mortagne, Mathurine Robin qui lui donnera huit enfants avant de le suivre en Nouvelle-France. Quand son père décède en 1623, Jean Guyon vend la maison familiale de Tourouvre et se fixe à Mortagne, prenant sa mère avec lui. Cette dernière disparaîtra trois ans plus tard. Probablement grâce à un héritage, la famille s’installe dans une plus grande demeure, et la vie continue.

 

 

 

 

Huisserie de la porte d’accès au clocher et

escalier en pierre blanche commandée à

Jean Guyon en 1615 Il exercera la profession de maçon. A 42 ans, dix jours après la naissance de son dernier enfant, Jean Guyon va céder aux propositions de Robert Giffard, médecin, chantre de l’émigration vers la Nouvelle-France et décide de tout quitter pour «faire, par la grâce de Dieu, colonie au pays de la Nouvelle-France. »

 

Si Robert Giffard tient à le recruter, c’est sans doute parce qu’il maîtrise son métier, et on ne saurait en douter puisqu’en 1615, on lui confie, en sa qualité de maître maçon, le soin de doter l’église Saint-Aubin de Tourouvre d’un escalier d’une trentaine de marches conduisant au clocher. Cet ouvrage peut encore être admiré de nos jours.

 

Dix ans plus tard, on recourre à ses services pour la restauration des murailles de Mortagne, ce qui témoigne également de la confiance dont il jouissait auprès du procureur syndic des habitants de la ville. Les fortifications étaient sans doute fort mal en point, car Mortagne avait changé 22 fois de mains pendant les guerres de Religion!

 

 

 

 

 

C’est le 14 mars 1634 que Jean Guyon et Zacharie Cloutier s’engagent à suivre Robert Giffard. Le seigneur promet de leur concéder des fiefs dans sa seigneurie de Beauport. Le notaire Roussel est-il distrait? Il semble que Giffard veut donner «à chacun d’eux mille arpents de terre», mais le tabellion écrit «à chacun deux mille arpents». Quand vient le moment pour le seigneur de respecter ses promesses, les deux pionniers reçoivent respectivement les arrière-fiefs de la Cloutièrerie et du Buisson, celui-ci nommé d’après une petite rivière qui l’arrose. Guyon s’attribuera d’ailleurs ce surnom à particule. De cette erreur, il résultera une vive contestation. Le gouverneur Huault de Montmagny intervint et iltrancha la question au bénéfice du seigneur.

 

En mars 1634, Jean et les siens, à l’exception de sa fille Barbe et de son gendre qui rejoindront le reste de la famille plus tard, quittent Mortagne. Embarqués à Dieppe, les Guyon parviennent après deux mois de traversée en juin 1634 à l’embouchure du fleuve Saint-Laurent.

 

Huit des enfants, dont six fils, se marieront et donneront à la colonie une pléiade de rejetons. Jean, qui prendra le surnom de son père, jette son dévolu sur Elisabeth Couillard (1645), la petite fille de Louis Hébert: 13 enfants. Simon épouse Louise Racine (1653), fille d’Étienne et de Marguerite Martin: six enfants. Claude se marie avec une Parisienne, Catherine Colin (1655), originaire de la même paroisse que l’épouse de Samuel de Champlain, Saint-Germain-l’Auxerrois: 12 enfants.

 

Denis unit sa destinée à celle d’Elisabeth Boucher (1659), fille de François et de Florence Gareman: neuf enfants. Michel, sieur de Rouvray, charpentier de navires, choisit pour compagne Geneviève Marsolet (1662), fille de Nicolas, qui est sieur de Saint-Aignant, tout d’abord interprète arrivé en 1613 avec Samuel de Champlain, puis propriétaire de plusieurs seigneuries dont celle de Bellechasse: 13 enfants. Enfin, François, dit Després, s’allie lui aussi avec une Marsolet, prénommée Marie-Madeleine (1662), la sœur de Geneviève: 12 enfants. Notons que le mariage de ces deux derniers couples est célébré le même jour, 4 septembre (1662); ils ont signé leur contrat de mariage devant le notaire Audouardle 20 août précédent.

 

Les deux filles Guyon doivent relever aussi le défi des familles nombreuses. Barbe, l’aînée de la famille, épouse le maître coutelier Pierre Paradis, à Mortagne, en 1632; le couple a sept enfants avant de passer en Nouvelle-France et il en porte quatre autres à l’église après son arrivée. Quant à sa sœur, Marie, elle choisit pour époux un solide Normand, le maçon François Bélanger, en 1637; celui-ci sera capitaine de milice sur la côte de Beaupré et recevra, en1677, la seigneurie de Bonsecours (L’Islet). Le couple a 12 enfants.

 

Jean Guyon est de toutes les fêtes religieuses et populaires. Ainsi, le Journal des Jésuites nous apprend que lors de la Fête-Dieu de 1646, il marche avec un autre migrant percheron célèbre Zacharie Cloutier à la tête de la procession, et que, à l’occasion du mariage de Jean Guyon du Buisson, le fils aîné du pionnier, avec Elisabeth Couillard, «il y eut deux violons à la noce, ce qui ne s’était pas encore vu au Canada».

 

C’est en 1652 que Pierre Paradis et Barbe Guyon arrivent en Nouvelle-France avec leur famille. Jean Guyon et son épouse possédent toujours leur maison à Mortagne. En 1653, ils la cèdent à la paroisse.

 

Jean Guyon décéde le 30 mai 1663; Mathurine Robin l’avait précédé dans la tombe un an plus tôt le 17 avril 1662.

 

Au fil des siècles, leurs enfants et descendants ont donné naissance à des générations de Guyon, devenus Guion ou Dion. Elles se sont installées au Québec, au Canada et aux Etats-Unis.

 

En 1730, la lignée Guyon compte 2150 personnes, ce qui la place ainsi au premier rang des familles françaises d’Amérique.

 

238 ans plus tard, le 30 mars 1968 naissait Céline Dion.

 

source: d’après un article de Michel Ganivet publié dans l’hebdomadaire Le Perche daté du 1er janvier 1998.

[19] Nouveau style.

[20] BIRTH: de Mortagne, Perche.

[21] BIRTH: St-Jean.

By René Arbour

Management certificate of Credit Card (New York - 1983-84) Bac Administration , Security for the people (Minesota 1984)